Forum Emploi Révéler des Talents

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Après une année de pause et une édi­tion en ligne, Union asbl, revient dans le pay­sage évé­ne­men­tiel bruxel­lois avec l’organisation de la 7ème édi­tion du Forum Emploi : Révé­ler des Talents, le Forum qui valo­rise la diver­si­té. La ren­contre se tien­dra le 31 mars 2023 à la Mai­son des Asso­cia­tions Inter­na­tio­nales, située Rue Washing­ton 40, 1050 Ixelles.

Audrey-Flore NGOMSIK, Doc­teur en chi­mie phy­sique et analytique,stratège en matière de chan­ge­ment cli­ma­tique et de res­pon­sa­bi­li­té sociale des entre­prises, et Ama­ka ORADIEGWU entre­pre­neure, fon­da­trice d’une mul­ti­na­tio­nale spé­cia­li­sée dans le trai­te­ment d’eaux usées, seront les mar­raines de cette édi­tion dont la thé­ma­tique est Emploi, entre­pre­neu­riat et tran­si­tion écologique. 

Au pro­gramme : Meet Up, Speed Coa­ching et Work­shops faci­li­tant la ren­contre des entre­prises, employeurs et ins­ti­tu­tions avec les chercheur.euse.s d’emploi, porteur.euse.s de pro­jets et étudiant.e.s afin de leur don­ner les infor­ma­tions et oppor­tu­ni­tés utiles à la construc­tion de leur vie pro­fes­sion­nelle. Les chercheur.euse.s d’emploi sont vive­ment invité.e.s à envoyer leur CV afin de pro­gram­mer un ou plu­sieurs meet-up avec les recruteurs. 

Un temps sera consa­cré à la remise des prix Union Diver­si­ty Orga­ni­sa­tion, Union Diver­si­ty Inno­va­tion,  Union Diver­si­ty Per­so­na­li­ty,  Prix spé­cial du jury et Prix spé­cial Union aux per­sonnes et/ou aux orga­ni­sa­tions qui se dis­tinguent dans le tra­vail qu’elles accom­plissent en faveur d’une socié­té plus inclusive.

L’évènement est ouvert à tou.te.s. L’entrée est libre mais la par­ti­ci­pa­tion se fait sur inscription.

PMR friend­ly.

Atelier sur le financement des projets Sud de Brussels International

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J‑15 : la deuxième édi­tion du Cre­das­sur­con­nect, un forum sur les finances et déve­lop­pe­ment durable axé sur la col­la­bo­ra­tion belgo-africaine.

Cre­das­sur­nord­sud dans sa mis­sion d’ac­com­pa­gne­ment des asbl, recherche des oppor­tu­ni­tés de finan­ce­ment pour les pro­jets des asbl.

Nous vous pré­sen­tons un des ate­liers du forum qui cible les asbl belges ayant un pro­jet pour la RDCon­go (Kin­sha­sa) et pour le Maroc (Rabat).

« Appel à pro­jet à hau­teur de 25.000€ pour Kinshasa ».

Une oppor­tu­ni­té avec Brus­sels International
Sophie Willau­mez Coor­di­na­trice de la cel­lule “Rela­tions bila­té­rales et Coopé­ra­tion au Déve­lop­pe­ment ” – Brus­sels Inter­na­tio­nal répon­dra à toutes vos ques­tions sur ce financement.

L’a­te­lier aura lieu le der­nier jour (10 Mars de 17h à 18h) du forum 1h avant le dîner de gala de clô­ture du forum.
Ins­cri­vez-vous à l’atelier et Soyez à l’heure!!!!! L’accès à l’atelier est offert grâce au spon­so­ring de la région de Bruxelles capitale.

L’ac­cès à l’a­te­lier est offert mais la par­ti­ci­pa­tion à la suite du pro­gramme de la jour­née ( Dîner d’af­faires du gala de clô­ture du forum) est payante. Pour plus d’info sur le dîner d’affaires, envoyez un mail à info@​credassurnordsud.​org

Ins­crip­tion à l’atelier sur le finan­ce­ment des asbl pos­sible jus­qu’au 27/02 à minuit.

Internationaal Economisch Forum Credassurconnect

Een eco­no­misch forum gericht op finan­ciën en duur­zame ontwikkeling.
Een forum dat onder­ne­mers, zaken­lui uit Bel­gië, Afri­ka en de ACS-lan­den, non-pro­fi­tor­ga­ni­sa­ties uit de Afri­kaanse dia­spo­ra en stu­den­ten samenbrengt.

Het doel van het forum is de pro­ble­men aan het licht te bren­gen op het gebied van beroep­so­plei­ding, ambach­ten, inzet­baa­rheid, finan­cie­ring, inter­na­tio­nale samen­wer­king, indus­tria­li­sa­tie in Afri­ka, ver­ze­ke­rin­gen, in- en uitvoer.

Ver­schil­lende Bel­gische en Afri­kaanse des­kun­di­gen zul­len spreken

Bel­gische des­kun­di­gen : (Awex, Brus­sels inter­na­tio­nal, Hub brus­sels, het agent­schap voor bui­ten­landse han­del, BIO Bank.…)

LEVEN MET KROESHAAR

Leven met kroeshaar

Het grootste haar­pro­bleem voor zwarte vrou­wen is dat ze den­ken dat hun haar een pro­bleem is !

Daa­rom bie­den APLDD en haar part­ners een reeks prak­tische en theo­re­tische work­shops over Afro-haar aan. Eigen­waarde, ini­tia­tie tot haar­cos­me­ti­ca, uit­wis­se­lin­gen over de socio-eco­no­mische, inter­re­la­tio­nele en pro­fes­sio­nele impact… al deze pun­ten en vele andere zul­len wor­den bes­pro­ken met des­kun­di­gen in een wel­willend en construc­tief kader…

🥳🥳🥳 Tote bag en goo­dies aan­ge­bo­den aan de eerste deel­ne­mers COPY00🛍🎁

⚠️ Zodra u zich hebt inges­chre­ven, is uw aan­we­zi­gheid ver­plicht, want wij beper­ken het aan­tal plaat­sen om u kwa­li­teits­volle work­shops aan te bie­den. Bij afwe­zi­gheid zon­der reden wordt uw inschri­j­ving voor de andere work­shops gean­nu­leerd. Bedankt voor uw begrip. ⚠️

 

GETALENTEERDE VROUWEN EDITIE II

geta­len­teerde vrou­wen keert deze zater­dag 4 maart terug voor een tweede edi­tie ! Onze expo­san­ten bie­den u de moge­lij­kheid om hun crea­ties, pas­sies, ver­bin­te­nis­sen of beroe­pen te ont­dek­ken via ver­schil­lende stands, work­shops en demonstraties.

Conférence sur la MOBILISATION ET SENSIBILISATION à la SITUATION DES VICTIMES DU CONGO

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-Créa­tion d’un Tri­bu­nal Pénal inter­na­tio­nal pour les crimes de guerre,  crimes contre l’humanité,  viols, géno­cides, cor­rup­tions et autres abus com­mis en Répu­blique Démo­cra­tique du Congo ;

- mise en exé­cu­tion du RAPPORT MAPPING ;

-Quel est le contexte du conflit dans l’Est du Congo ;

- Le Peuple Congo­lais et le TRAUMA ;

-Quel rôle peuvent et doivent jouer la Bel­gique et la Com­mu­nau­té inter­na­tio­nale dans contexte sur un plan d’in­ves­tis­se­ments pour le déve­lop­pe­ment du Congo dans le sec­teur psychosocial.

Conférence-débat

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Forum Lisan­ga vous invite à un après-midi riche en par­tage lors d’une confé­rence-débat dans le cadre de la Quin­zaine de la soli­da­ri­té inter­na­tio­nale 2022.
𝗔𝘂 𝗽𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 :
📢 Confé­rence, Débat, Musique & Projection
𝗧𝗵𝗲𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 :
🌍 À tra­vers un web-docu­men­taire, nous vou­lons pré­sen­ter une de nos acti­vi­tés de Soli­da­ri­té Inter­na­tio­nale. En effet, Forum Lisan­ga ASBL mène un pro­jet de coopé­ra­tion au déve­lop­pe­ment en RDC dans la Ville pro­vince de Kin­sha­sa, par­ti­cu­liè­re­ment dans la Com­mune de la N’sele.
🌱 Women’s Green Impact veut d’une part, mettre en place un outil pour la trans­for­ma­tion de fruits et légumes et d’autre part, struc­tu­rer les dif­fé­rentes acti­vi­tés de notre public cible autour d’une coopé­ra­tive. L’enjeu est de ren­for­cer les capa­ci­tés de notre public cible. Au-delà de la pré­sen­ta­tion de ce pro­jet, nous vou­lons aus­si sus­ci­ter le débat autour des enjeux liés aux oppor­tu­ni­tés de la glo­ba­li­sa­tion à tra­vers le sec­teur de l’agriculture par­ti­cu­liè­re­ment de la valo­ri­sa­tion des pro­duits agricoles.
𝗣𝗹𝗮𝗻𝗻𝗶𝗻𝗴 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗽𝗿𝗲𝘀-𝗺𝗶𝗱𝗶 :
16h30 : Accueil et verre de bienvenue
17h30 : Pro­jec­tion du docu­men­taire et débat
19h00 : Dégus­ta­tion culinaire
20h00 : Ani­ma­tion musicale
22h00 : Fin
✅ ENTRÉE GRATUITE
✅ Ins­crip­tion sou­hai­té : info@​forumlisanga.​be
𝗗𝗲𝗰𝗼𝘂𝘃𝗿𝗲𝘇 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗤𝘂𝗶𝗻𝘇𝗮𝗶𝗻𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘀𝗼𝗹𝗶𝗱𝗮𝗿𝗶𝘁𝗲 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟮

Arrêter son projet : Exit strategy

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Un jour, vous êtes sur le point de vous sépa­rer de votre orga­ni­sa­tion par­te­naire. Bonne nou­velle parce que l’or­ga­ni­sa­tion par­te­naire peut conti­nuer de manière indé­pen­dante, ou moins bonne nou­velle parce que vous ne pou­vez pas réunir suf­fi­sam­ment de fonds ? Dans tous les scé­na­rios, vous vou­lez pré­pa­rer cette sor­tie aus­si bien que pos­sible. C’est là que cette boîte à outils peut vous aider.

 

Pré­pa­rez-vous avec ce kit d’outils

Cette boîte à outils vous aide à éta­blir un diag­nos­tic de votre propre orga­ni­sa­tion. Vous met­tez votre orga­ni­sa­tion devant le miroir, pour ain­si dire. Pour les orga­ni­sa­tions cari­ta­tives qui pré­voient de se sépa­rer d’une orga­ni­sa­tion par­te­naire dans le pays en déve­lop­pe­ment (le “par­te­naire-où”) ou qui envi­sagent de se dis­soudre, le diag­nos­tic joue un rôle impor­tant dans la sortie.
Cette boîte à outils contient des études de cas, des recom­man­da­tions, un glos­saire et une liste de contrôle pra­tique pour la sor­tie. La boîte à outils se fonde sur une étude réa­li­sée par Martje Nooij auprès de neuf ini­tia­tives pri­vées (IP) néer­lan­daises qui ont ces­sé leurs acti­vi­tés ou envi­sagent de le faire.

À pro­pos du com­pi­la­teur de cette boîte à outils :

Martje Nooij (1952) a ter­mi­né son Mas­ter (MSc) en 2018 à l’U­ni­ver­si­té d’U­trecht à la Facul­té de droit, d’é­co­no­mie, de gou­ver­nance et d’or­ga­ni­sa­tion, Dépar­te­ment des sciences de la gou­ver­nance et de l’or­ga­ni­sa­tion avec sa recherche “Exit stra­te­gy : a mat­ter of doing, thin­king and sha­ring”. Elle lui a valu le prix de thèse NAP 2019, qui récom­pense la meilleure thèse dans le domaine de la philanthropie.

Il s’a­git d’une étude empi­rique sur neuf ini­tia­tives pri­vées (IP) néer­lan­daises qui sont ou ont été actives en Afrique du Sud, le pays où Martje Nooij a vécu et tra­vaillé pen­dant seize ans. Dans des recherches anté­rieures sur les IP (comme celles de van Kins­ber­gen, Schul­pen et Van den Berg), on a fait valoir qu’il serait utile d’exa­mi­ner la dura­bi­li­té du tra­vail des IP. La recherche de Nooij y répond en exa­mi­nant les résul­tats de neuf IP qui ont arrê­té ou pré­voyaient de le faire au moment de l’é­tude. Les conclu­sions se fondent sur une enquête, sur des entre­tiens avec des direc­teurs d’IP et sur des docu­ments des IP tels que des bul­le­tins d’in­for­ma­tion, des rap­ports annuels et des photographies.

Dans le der­nier cha­pitre, Nooij for­mule diverses recom­man­da­tions non seule­ment pour la pra­tique des IP, mais aus­si pour les dona­teurs, les orga­ni­sa­tions de dona­teurs et les conseillers en phi­lan­thro­pie. La recherche a per­mis de déga­ger plu­sieurs nou­velles idées.

 

Trois façons de tra­vailler : faire, pen­ser et partager

L’une des décou­vertes que j’ai faites dans le cadre de mes recherches sur la sor­tie des ini­tia­tives pri­vées (IP) néer­lan­daises est qu’elles ont trois méthodes de tra­vail dif­fé­rentes, qu’elles uti­lisent de manière inter­chan­geable. De nom­breux IP uti­lisent les trois : ils font, pensent et par­tagent, et cer­tains com­binent les deux. Sou­vent, une méthode de tra­vail est domi­nante, la domi­nante “D”. Pour que les choses soient claires : les trois “D” ne sont pas une carac­té­ri­sa­tion au sens de ce qu’est une orga­ni­sa­tion, il ne s’a­git donc pas d’une éti­quette, mais d’une indi­ca­tion de dif­fé­rentes manières d’a­gir ou de modèles com­por­te­men­taux. Grâce à cette boîte à outils, vous pou­vez trou­ver une réponse à la ques­tion sui­vante : quelle est la méthode de tra­vail domi­nante (le “D” domi­nant) de notre orga­ni­sa­tion, et com­ment puis-je contri­buer à des résul­tats durables – à la sortie ?

 

Les com­po­santes d’une stra­té­gie de sor­tie responsable

On peut dis­tin­guer plu­sieurs com­po­santes dans une stra­té­gie de sor­tie res­pon­sable. Il s’a­git de la pro­mo­tion de la capa­ci­té opé­ra­tion­nelle des par­te­naires sur place, de la diver­si­fi­ca­tion des dona­teurs (plu­sieurs dona­teurs sur place) et de la coor­di­na­tion des dona­teurs (consul­ta­tion entre les dona­teurs), des sor­ties par étapes et de l’im­pli­ca­tion éga­le­ment après la sor­tie. Cer­tains com­po­sants sont plus impor­tants que d’autres. La pro­mo­tion de la capa­ci­té opé­ra­tion­nelle est de loin la plus impor­tante. Il est éga­le­ment impor­tant de pré­voir une sor­tie par étapes et de conti­nuer à sou­te­nir le par­te­naire sur place pen­dant cette période. Cela vaut éga­le­ment pour la créa­tion d’une nou­velle rela­tion avec le par­te­naire pré­sent après la sor­tie. Pen­dant cette période, le par­te­naire pour­rait être sou­te­nu par un men­to­rat, par exemple. Il n’est pas néces­saire d’en­vi­sa­ger une sor­tie pré­ma­tu­rée. Atten­dez d’a­bord de voir si les acti­vi­tés sont fruc­tueuses. Après tout, tout est sujet à chan­ge­ment : ce qui a été déve­lop­pé au départ peut être dépas­sé, de nou­velles idées peuvent appa­raître et, en outre, le contexte peut chan­ger. Par exemple, si la légis­la­tion et les règle­ments changent.

Conseils et astuces pour la sortie

La ques­tion clé est : pour­quoi vou­lez-vous arrê­ter ? Y a‑t-il des rai­sons internes, des rai­sons qui se trouvent prin­ci­pa­le­ment du côté de votre ini­tia­tive du 4ème pilier ? Ou y a‑t-il des rai­sons externes, prin­ci­pa­le­ment du côté de votre par­te­naire ? Ou est-ce un mélange de rai­sons internes et externes ? Vous pou­vez trou­ver divers exemples dans la lit­té­ra­ture. Vous trou­ve­rez ci-des­sous les rai­sons de la sor­tie avec quelques ques­tions. En concer­ta­tion avec votre par­te­naire, posez d’a­bord le plus de ques­tions pos­sibles et ne réflé­chis­sez qu’en­suite aux réponses.

Les rai­sons les plus cou­rantes des sor­ties internes dues à des pro­blèmes de votre côté avec quelques ques­tions que vous pou­vez vous poser ci-dessous.

  • Les objec­tifs ont été atteints. > 
    Notre par­te­naire là-bas convient-il que les objec­tifs ont été atteints ? Avons-nous com­mu­ni­qué à plu­sieurs reprises que la sor­tie est immi­nente et notre par­te­naire sur place a‑t-il bien com­pris ? Avons-nous conve­nu d’un calen­drier et d’un retrait pro­gres­sif du sou­tien (finan­cier et moral) ? De quoi le par­te­naire a‑t-il encore besoin pour pou­voir conti­nuer sans nous ? Pou­vons-nous offrir cela ? Si non, qui le peut ? Com­ment main­te­nir la rela­tion après la sor­tie ? Et ain­si de suite.
  • Manque de main-d’œuvre ou de temps, d’éner­gie, de pas­sion ou d’ex­per­tise parce que les res­pon­sables se retirent et ne peuvent être rem­pla­cés. Le vieillis­se­ment est sou­vent un pro­blème, tan­dis que le rajeu­nis­se­ment est dif­fi­cile. Les jeunes semblent moins dis­po­sés à s’en­ga­ger pour une période plus longue.
    > Est-il pos­sible de trou­ver une autre orga­ni­sa­tion qui sou­haite reprendre notre ini­tia­tive du 4ème pilier ou fusion­ner avec nous ? Avons-nous envi­sa­gé et dis­cu­té les consé­quences pour le par­te­naire sur place ? Le par­te­naire d’i­ci peut-il être “adop­té” par la nou­velle orga­ni­sa­tion ? Que fai­sons-nous avec le reste de notre capi­tal ? Y a‑t-il des cadres qui sou­haitent être trans­fé­rés au conseil d’ad­mi­nis­tra­tion du par­te­naire d’ac­qui­si­tion ou au conseil d’ad­mi­nis­tra­tion de la nou­velle orga­ni­sa­tion fusion­née ? Et ain­si de suite.
  • Pas assez d’argent ou de dona­teurs. Par exemple, parce que le gou­ver­ne­ment ne four­nit plus de sub­ven­tions publiques pour la coopé­ra­tion au déve­lop­pe­ment dans cer­tains pays. > Avons-nous dis­cu­té du pro­blème avec notre pays par­te­naire ? Y a‑t-il d’autres dona­teurs que nous n’a­vons pas encore contac­tés ? Le par­te­naire local peut-il col­lec­ter des fonds dans son propre pays ? Pou­vons-nous les aider à mettre en place leur propre col­lecte de fonds et leur four­nir l’argent néces­saire ? Une for­ma­tion et un ensei­gne­ment sont-ils dis­po­nibles ou le par­te­naire peut-il orga­ni­ser une col­lecte de fonds pro­fes­sion­nelle ? Et ain­si de suite.
  • Stra­té­gie “Don­ner de son vivant” : don­ner jus­qu’à épui­se­ment du capi­tal. >Notre par­te­naire là-bas sait-il que nous avons cette stra­té­gie ? Avons-nous fait savoir à temps à notre par­te­naire là-bas que notre capi­tal s’é­puise ? Voir plus haut. Et ain­si de suite.
  • Conflits au sein de votre ini­tia­tive du 4ème pilier. Par exemple, en rai­son d’une fraude, d’une diver­gence d’o­pi­nion ou de dif­fé­rends per­son­nels. > Y a‑t-il (des soup­çons) de fraude ? Peut-on faire une enquête ? Quelles autres mesures pou­vons-nous prendre ? En cas de conflit (per­son­nel), peut-on faire appel à un média­teur ? Gar­dons-nous un œil sur les inté­rêts de notre par­te­naire sur place et sur ceux de notre propre orga­ni­sa­tion ? Pre­nons-nous en compte les coûts et les autres dom­mages, tels que l’at­teinte à la répu­ta­tion ? Et ain­si de suite.

Les rai­sons de sor­tie externe les plus cou­rantes sont dues à des pro­blèmes du côté de votre par­te­naire – voi­ci quelques ques­tions que vous pou­vez vous poser ci-dessous

  • Fraude, vol, abus ou autres irrégularités. 
    > Avons-nous com­mu­ni­qué avec le par­te­naire là-bas ? Y a‑t-il un mal­en­ten­du ou un manque de connais­sances ? Peut-on faire appel à un expert pour nous aider ? Y a‑t-il des mal­ver­sa­tions finan­cières ? Y a‑t-il plus de don­neurs endom­ma­gés ? Pou­vons-nous agir ensemble ? Cela vaut-il la peine de faire réa­li­ser un audit médi­co-légal ? Com­ment com­mu­ni­quons-nous avec les dona­teurs et les autres par­ties pre­nantes de notre ini­tia­tive du 4ème pilier ? Gar­dons-nous à l’es­prit les inté­rêts de nos par­te­naires sur place et de notre propre orga­ni­sa­tion ? Com­ment prendre en compte les coûts et autres dom­mages tels que l’at­teinte à la répu­ta­tion ? Et ain­si de suite.
  • Le par­te­naire ne veut plus de sou­tien à cause de la contre­par­tie exi­gée. Par exemple, des exi­gences trop strictes en matière de res­pon­sa­bi­li­té qui prennent tel­le­ment de temps que cela se fait au détri­ment du vrai travail.
    > Avons-nous deman­dé à notre par­te­naire quel est exac­te­ment le pro­blème ? Envi­sa­geons-nous de faire appel à un expert ? Ou est-ce qu’une modi­fi­ca­tion de notre pro­cé­dure résou­drait le problème ?
    Savons-nous com­ment les autres orga­ni­sa­tions demandent des comptes à leurs par­te­naires ? Et ain­si de suite.
  • Com­mu­ni­ca­tion médiocre/insuffisante entre votre ini­tia­tive du 4ème pilier et votre lieu-partenaire.
    > Avons-nous deman­dé à notre par­te­naire là-bas quel est le pro­blème ? Y a‑t-il un mal­en­ten­du ou un manque de connais­sances ? Peut-on faire appel à un expert ? Avons-nous clai­re­ment expli­qué à nos par­te­naires que sans infor­ma­tions, nous ne pou­vons pas rendre de comptes à nos dona­teurs et nous ne pou­vons pas col­lec­ter de fonds ? Et ain­si de suite.
  • Frais généraux/salaires éle­vés chez le par­te­naire. > Avons-nous dis­cu­té de cela avec le par­te­naire sur place ? Savons-nous ce que serait un salaire rai­son­nable pour des emplois simi­laires dans des orga­ni­sa­tions simi­laires ? Et ain­si de suite.
  • Conflit avec le par­te­naire en rai­son d’une dif­fé­rence d’o­pi­nion ou de dif­fé­rends personnels.
    > Avons-nous com­mu­ni­qué avec le par­te­naire à ce sujet ? Y a‑t-il un mal­en­ten­du ou des connais­sances insuf­fi­santes ? On peut faire appel à un expert ? Gar­dons-nous à l’es­prit les inté­rêts de l’or­ga­ni­sa­tion par­te­naire et de notre propre orga­ni­sa­tion ? Pre­nons-nous en compte les coûts et les autres dom­mages tels que l’at­teinte à la répu­ta­tion ? Et ain­si de suite.
  • Les per­sonnes de contact dis­pa­raissent, entre autres en rai­son du vieillis­se­ment. La plu­part des petites orga­ni­sa­tions dis­posent sou­vent d’un réseau limi­té, ce qui rend le rem­pla­ce­ment dif­fi­cile. > Pou­vons-nous trou­ver une ou plu­sieurs nou­velles per­sonnes de contact ? Pou­vons-nous trou­ver une ou plu­sieurs nou­velles per­sonnes de contact, par exemple dans une autre orga­ni­sa­tion (par exemple, une autre ini­tia­tive du 4e pilier ou un IP néer­lan­dais) ou une orga­ni­sa­tion au sens large ? Quelles sont les consé­quences de la perte des per­sonnes de contact pour nos acti­vi­tés sur place, ou pour la coopé­ra­tion ? Et ain­si de suite.
  • Les lois et règle­ments du pays de votre par­te­naire évoluent. > 
    Qu’est-ce qui change exac­te­ment ? Com­ment cela affecte-t-il votre par­te­naire-résident et vos acti­vi­tés ? Com­ment pour­riez-vous vous y adap­ter, vous et votre par­te­naire ? Et ain­si de suite.

En géné­ral, la pro­cé­dure de sor­tie est dis­cu­tée lors d’une ou plu­sieurs réunions du conseil d’ad­mi­nis­tra­tion. En termes de temps, la sor­tie de la déci­sion à la mise en œuvre prend plu­sieurs mois, mais par­fois plu­sieurs années. Pen­dant cette période, l’aide est géné­ra­le­ment sup­pri­mée pro­gres­si­ve­ment. Lors de la pro­cé­dure de sor­tie, le solde res­tant est par­fois dépen­sé pour l’or­ga­ni­sa­tion par­te­naire, mais par­fois aus­si pour d’autres orga­ni­sa­tions sur place. Après la sor­tie, il y a sou­vent encore des contacts avec l’an­cienne orga­ni­sa­tion par­te­naire, par écrit, ora­le­ment ou en per­sonne, mais le plus sou­vent par écrit. Une sor­tie pure­ment froide : démis­sion­ner uni­que­ment par manque d’argent, semble être rare.

La sépa­ra­tion est source de souffrance

La sépa­ra­tion est source de souf­france. La psy­chiatre Eli­sa­beth Kübler-Ross a décrit cinq phases dans le pro­ces­sus de deuil : le déni, la pro­tes­ta­tion (ou la colère), le mar­chan­dage et/ou la lutte, la dépres­sion et l’acceptation.
Les rai­sons d’ar­rê­ter semblent jouer un rôle impor­tant dans le pro­ces­sus de deuil. S’ar­rê­ter parce qu’on n’a pas réus­si ou parce que des pro­blèmes per­son­nels ont ren­du la tâche impos­sible, ou s’ar­rê­ter parce que l’ob­jec­tif a été atteint peut sus­ci­ter des émo­tions très dif­fé­rentes. En outre, les émo­tions seront dif­fé­rentes d’une per­sonne à l’autre. Cer­tains parlent d’un désastre per­son­nel ou de l’a­dieu à un “bébé” ou à l’œuvre d’une vie. Ils expriment la pas­sion et la mélan­co­lie. D’autres réagissent de manière plus laco­nique et disent : c’est bon, ou c’est le moment, c’é­tait bien, c’est bien d’a­voir fait, ou c’est fait. Mais la colère, la tris­tesse et la décep­tion peuvent éga­le­ment jouer un rôle, par exemple si vous vous sen­tez trom­pé par votre par­te­naire sur place. Vous pou­vez éga­le­ment vous sen­tir aban­don­né par vos col­lègues, vos col­la­bo­ra­teurs ou vos donateurs.

Et plus les émo­tions sont fortes pen­dant la coopé­ra­tion, plus il est pro­bable qu’elles le seront au moment des adieux. Dire au revoir prend du temps, alors faites-le étape par étape. Après des années de coopé­ra­tion, il n’est pas judi­cieux de tirer la prise. Selon Kübler-Ross, l’ac­cep­ta­tion est la der­nière étape du pro­ces­sus d’ac­cep­ta­tion du deuil. Il existe plu­sieurs exemples dans la lit­té­ra­ture qui peuvent aider, sur­tout lorsque le sen­ti­ment de ne pas avoir réus­si ou de ne pas être prêt domine.

Consi­dé­rez votre ini­tia­tive comme une expé­rience. Il n’existe pas de test per­met­tant de pré­dire si une approche fonc­tion­ne­ra. Pen­sez à l’ap­proche de la pan­dé­mie mon­diale de Covid-19, qui dif­fère d’un pays à l’autre ; ce sont toutes des expé­riences. Ce n’est qu’a­vec le recul que nous pou­vons déter­mi­ner ce qui aurait pu être fait mieux ou dif­fé­rem­ment, et cela vaut éga­le­ment pour votre propre approche. Voyez-le comme une leçon apprise, tant pour vous-même, votre propre orga­ni­sa­tion que pour votre par­te­naire et même pour des tiers. Parce que chaque leçon apprise peut être une inci­ta­tion à l’a­mé­lio­ra­tion ou à l’in­no­va­tion. Dans ce cas, il n’y a pas eu de gas­pillage d’argent ou de temps, mais un “argent d’ap­pren­tis­sage” et un “temps d’ap­pren­tis­sage” ont été dépen­sés. Il peut éga­le­ment y avoir un effet secon­daire. Il se peut que vous ne voyiez pas de résul­tats ou qu’ils soient insuf­fi­sants au moment de dire adieu, mais arrê­ter, même si c’est dou­lou­reux, peut même avoir des effets posi­tifs à long terme.

Le kit d’ou­tils contient quelques exemples d’or­ga­ni­sa­tions de déve­lop­pe­ment qui ont tiré les leçons de leurs expé­riences et les ont par­ta­gées publi­que­ment. Ils en ont tiré des leçons eux-mêmes et peut-être pou­vez-vous en tirer des leçons aussi.

Qu’est-ce qu’une association sans but lucratif (ASBL)

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Qu’est-ce qu’une association sans but lucratif (ASBL) ?

Une asso­cia­tion sans but lucra­tif consiste en un groupe de per­sonnes phy­siques ou morales pour­sui­vant un but dés­in­té­res­sé. L’as­so­cia­tion sans but lucra­tif dif­fère de l’as­so­cia­tion pro­pre­ment dite.

L’as­so­cia­tion de fait n’a pas de per­son­na­li­té juri­dique, ses membres peuvent être tenus per­son­nel­le­ment res­pon­sables et inves­tir leurs propres biens.

L’as­so­cia­tion sans but lucra­tif a une per­son­na­li­té juri­dique propre, dis­tincte de celle de ses membres. La per­son­na­li­té juri­dique signi­fie que l’as­so­cia­tion sans but lucra­tif a des droits et des obli­ga­tions. Les membres ont une res­pon­sa­bi­li­té limi­tée et, en prin­cipe, n’in­ves­tissent pas leurs propres biens pour les obli­ga­tions de l’ASBL.

 

Fon­der et gérer une orga­ni­sa­tion à but non lucra­tif : Où pou­vez-vous trou­ver toutes les informations ?

Sur www​.monas​bl​.be, vous trou­ve­rez des outils pra­tiques que vous pou­vez uti­li­ser pour la ges­tion des ASBL, les finances, les assu­rances, la ges­tion des employés et l’administration.

Bro­chure – Le Ser­vice public fédé­ral Jus­tice a publié une bro­chure qui explique clai­re­ment toutes les infor­ma­tions de base. La bro­chure four­nit des réponses aux ques­tions sui­vantes, entre autres : Qu’est-ce qu’une orga­ni­sa­tion à but non lucra­tif ? Com­ment créer une orga­ni­sa­tion à but non lucra­tif ? Com­ment une orga­ni­sa­tion sans but lucra­tif est-elle orga­ni­sée ? Quelles sont les obli­ga­tions comp­tables des orga­ni­sa­tions sans but lucra­tif ? Com­ment la res­pon­sa­bi­li­té est-elle réglementée ?

Quand est-il utile de deve­nir une orga­ni­sa­tion à but non lucratif ?

La créa­tion d’une orga­ni­sa­tion sans but lucra­tif pré­sente de nom­breux avan­tages, mais l’ob­ten­tion de ce sta­tut entraîne des obli­ga­tions fis­cales, juri­diques et comp­tables. En outre, les for­ma­li­tés néces­saires entraînent des coûts. Il est donc impor­tant d’exa­mi­ner si le fait de deve­nir une orga­ni­sa­tion à but non lucra­tif consti­tue une valeur ajou­tée pour votre organisation.

Dans de nom­breux cas, il suf­fit de créer une asso­cia­tion de fait pour atteindre votre objectif :

  • Les acti­vi­tés de votre asso­cia­tion sont orga­ni­sées à une courte période de l’an­née. Par exemple : Votre asso­cia­tion orga­nise une fois par an une grande fête au pro­fit d’un pro­jet à l’étranger.
  • Votre asso­cia­tion compte peu de membres
  • Votre asso­cia­tion ne pos­sède pas de biens immobiliers

Conseil : si vous choi­sis­sez de res­ter une asso­cia­tion de fait, il est tou­jours conseillé de rédi­ger un règle­ment inté­rieur qui énu­mère les droits et obli­ga­tions des membres.

QUAND ?

Dans cer­tains cas, cepen­dant, il est conseillé de créer une orga­ni­sa­tion sans but lucra­tif dans l’in­té­rêt des membres ou de l’or­ga­ni­sa­tion elle-même.

- Votre asso­cia­tion conclut sou­vent des accords avec des enga­ge­ments financiers

- Votre asso­cia­tion sou­haite pos­sé­der des biens immo­bi­liers en son nom propre.

- Votre asso­cia­tion veut être recon­nue ou rece­voir des sub­ven­tions. Le gou­ver­ne­ment sti­pule sou­vent que le sta­tut d’or­ga­nisme sans but lucra­tif est une condi­tion pour obte­nir des subventions.

- Votre asso­cia­tion rece­vra des dons ou des legs. Cela n’est pos­sible que si l’or­ga­ni­sa­tion a une per­son­na­li­té juridique.

-Votre asso­cia­tion veut embau­cher du personnel.

 

Com­ment créer une orga­ni­sa­tion à but non lucra­tif en 5 étapes ?

Pour créer une asso­cia­tion sans but lucra­tif, vous devez suivre un cer­tain nombre d’é­tapes : réflé­chir, rédi­ger des sta­tuts, convo­quer une assem­blée consti­tu­tive et signer les sta­tuts, dépo­ser les sta­tuts et les publier au Moni­teur belge. Ils sont briè­ve­ment décrits ci-dessous.

Étape 1 : moment de réflexion : est-il néces­saire de créer une orga­ni­sa­tion sans but lucratif ?

La créa­tion d’une orga­ni­sa­tion sans but lucra­tif pré­sente de nom­breux avan­tages, mais l’ob­ten­tion de ce sta­tut entraîne des obli­ga­tions fis­cales, juri­diques et comp­tables. En outre, les for­ma­li­tés néces­saires entraînent des coûts. Il est donc impor­tant d’exa­mi­ner si le fait de deve­nir une orga­ni­sa­tion à but non lucra­tif consti­tue une valeur ajou­tée pour votre organisation.

Étape 2 : Rédac­tion des sta­tuts de l’association

Si la déci­sion est prise de créer une orga­ni­sa­tion à but non lucra­tif, des sta­tuts doivent être rédi­gés. Ce sont les prin­cipes de base de l’as­so­cia­tion sans but lucra­tif. Il est obli­ga­toire d’y inclure les élé­ments suivants :

  1. l’i­den­ti­té des fondateurs ;
  2. le nom et le siège social ;
  3. le nombre mini­mum de membres ;
  4. la des­crip­tion de l’objectif ;
  5. la manière dont les membres peuvent adhé­rer et démissionner ;
  6. les pou­voirs et la convo­ca­tion de l’as­sem­blée géné­rale, ain­si que la manière dont les réso­lu­tions de l’as­sem­blée géné­rale sont com­mu­ni­quées aux membres ;
  7. le mode de nomi­na­tion, de ces­sa­tion des fonc­tions et de révo­ca­tion des administrateurs ;
  8. le mon­tant maxi­mal des coti­sa­tions ou des paie­ments à effec­tuer par les membres ;
  9. la des­ti­na­tion des actifs en cas de dissolution ;
  10. la durée de l’association.

Vous pou­vez éga­le­ment trou­ver de nom­breux exemples de sta­tuts sur Internet.

Étape 3 : Réunion de fon­da­tion et signa­ture des sta­tuts de l’association

Lorsque les sta­tuts sont sur papier, invi­tez les membres fon­da­teurs à la réunion de fon­da­tion. Lors de cette réunion, les sta­tuts doivent être approu­vés à l’u­na­ni­mi­té (tout le monde doit être d’ac­cord). De même, les membres du conseil d’ad­mi­nis­tra­tion doivent être nom­més. Il doit y avoir autant de copies des sta­tuts qu’il y a de membres fon­da­teurs. Chaque exem­plaire est signé par tous les membres fon­da­teurs. Pour l’ins­tant, l’as­so­cia­tion existe entre les membres fon­da­teurs, mais pas encore pour les per­sonnes extérieures.

Étape 4 : Dépôt des sta­tuts de l’association

L’é­tape sui­vante consiste à dépo­ser les docu­ments sui­vants au greffe du tri­bu­nal de com­merce du lieu du siège de l’AS­BL : sta­tuts, actes de nomi­na­tion des admi­nis­tra­teurs, copie du registre des membres.

Étape 5 : Publi­ca­tion au Moni­teur belge

Cer­tains docu­ments qui ont été dépo­sés doivent éga­le­ment être publiés au Moni­teur belge. La demande de publi­ca­tion doit être faite au moyen du for­mu­laire ad hoc dis­po­nible auprès du greffe du tri­bu­nal de com­merce et sur le site inter­net du SPF Jus­tice. Elle doit être accom­pa­gnée d’un chèque rem­pli ou d’une preuve de vire­ment avec le mon­tant requis pour l’in­cor­po­ra­tion de l’AS­BL. Après l’ap­pro­ba­tion des sta­tuts, il peut s’é­cou­ler un cer­tain temps avant qu’ils ne soient publiés au Jour­nal offi­ciel. Mais à par­tir du moment où les sta­tuts sont signés lors de l’as­sem­blée consti­tu­tive, la per­son­na­li­té juri­dique de l’as­so­cia­tion s’ap­plique aux membres, aux fon­da­teurs et aux futurs membres, et les sta­tuts leur sont opposables.

Pour d’autres, il existe une “per­son­na­li­té juri­dique pro­vi­soire” en tant qu’ ”asso­cia­tion sans but lucra­tif en for­ma­tion”. L’ASBL acquiert défi­ni­ti­ve­ment la per­son­na­li­té juri­dique le jour du dépôt de ses sta­tuts et des actes de nomi­na­tion des admi­nis­tra­teurs au greffe du tri­bu­nal de com­merce de l’ar­ron­dis­se­ment judi­ciaire dans lequel l’AS­BL a son siège social (et ce dans les 30 jours sui­vant l’ap­pro­ba­tion des statuts).

 

 

Brussels Be Fair Award 2022

Het Brus­selse plat­form voor eer­lijke han­del heeft het ple­zier om u uit te nodi­gen voor de pri­j­sui­trei­king van de eerste edi­tie van de wed­stri­jd BRUSSELS BE FAIR AWARDS 2022.

De cere­mo­nie zal plaats­vin­den op 12 mei 2022, om 16u, in de Spie­gel­zaal van het Brus­sels Parlement
(Lom­bard­straat 69). Het onthaal begint vanaf 15u45.

We kun­nen reke­nen op de aan­we­zi­gheid van :

  • Pas­cal Smet, Brus­selse Staats­se­cre­ta­ris bevoegd voor ontwikkelingssamenwerking,
  • Meryame Kitir (of een ver­te­gen­woor­di­ger), Fede­raal Minis­ter van ontwikkelingssamenwerking,
  • Pison Kukun­dakwe, ver­te­gen­woor­di­ger van Ankole Cof­fee Pro­du­cers Coope­ra­tive Limi­ted – ACPCU (Oegan­da),
  • ver­schil­lende Brus­selse parlementsleden,
  • en de leden van het plat­form voor eer­lijke han­del in het Brus­sels Hoofd­ste­de­lijk Gewest.

We vie­ren dit in sti­jl, met een klein concert en een duur­zaam, lokaal en fair trade aperitief
We hopen op jul­lie tal­rijke aanwezigheid

NB : gelieve uw aan­we­zi­gheid per email te beves­ti­gen aan bi.​devco@​sprb.​brussels tegen 27 april 2022.