VIVRE AVEC LES CHEVEUX CREPUS

Vivre avec les che­veux crépus

Le plus grand pro­blème capil­laire des femmes noires est qu’elles pensent que leurs che­veux sont un problème !

C’est pour­quoi APLDD, et ses par­te­naires, vous pro­posent une série d’ateliers pra­tiques et théo­riques autour des che­veux afros. Estime de soi, Ini­tia­tion à la cos­mé­tique capil­laire, échanges sur l’impact socio-éco­no­mique, inter­re­la­tion­nel et professionnel…tous ces points et tant d’autres seront abor­dés avec des expert.e.s dans un cadre bien­veillant et constructif…

🥳🥳🥳 Tote bag et goo­dies offerts aux premier.e.s participant.e.s !!!!🛍🎁

⚠️ Une fois inscrit.e, votre pré­sence est obli­ga­toire car nous limi­tons les places pour vous pro­po­ser des ate­liers qua­li­ta­tifs. L’ab­sence sans motif entraine la sup­pres­sion de votre ins­crip­tion aux autres ate­liers. Mer­ci pour votre com­pré­hen­sion.⚠️

FEMMES TALENTUEUSES EDITION II

𝐅𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐓𝐚𝐥𝐞𝐧𝐭𝐮𝐞𝐮𝐬𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐯𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐞 𝐬𝐚𝐦𝐞𝐝𝐢 𝟒 𝐦𝐚𝐫𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐬𝐞𝐜𝐨𝐧𝐝𝐞 𝐞́𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 !!! 𝐍𝐨𝐬 𝐞𝐱𝐩𝐨𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞𝐬 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐨𝐬𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐝𝐞́𝐜𝐨𝐮𝐯𝐫𝐢𝐫 𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬, 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐬, 𝐞𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐨𝐮 𝐦𝐞́𝐭𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐚̀ 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐞𝐫𝐬 𝐝𝐢𝐟𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐬𝐭𝐚𝐧𝐝𝐬, 𝐚𝐭𝐞𝐥𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞́𝐦𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 !!

Conférence sur la MOBILISATION ET SENSIBILISATION à la SITUATION DES VICTIMES DU CONGO

-Créa­tion d’un Tri­bu­nal Pénal inter­na­tio­nal pour les crimes de guerre,  crimes contre l’humanité,  viols, géno­cides, cor­rup­tions et autres abus com­mis en Répu­blique Démo­cra­tique du Congo ;

- mise en exé­cu­tion du RAPPORT MAPPING ;

-Quel est le contexte du conflit dans l’Est du Congo ;

- Le Peuple Congo­lais et le TRAUMA ;

-Quel rôle peuvent et doivent jouer la Bel­gique et la Com­mu­nau­té inter­na­tio­nale dans contexte sur un plan d’in­ves­tis­se­ments pour le déve­lop­pe­ment du Congo dans le sec­teur psychosocial.

Conférence-débat

Forum Lisan­ga vous invite à un après-midi riche en par­tage lors d’une confé­rence-débat dans le cadre de la Quin­zaine de la soli­da­ri­té inter­na­tio­nale 2022.
𝗔𝘂 𝗽𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 :
📢 Confé­rence, Débat, Musique & Projection
𝗧𝗵𝗲𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 :
🌍 À tra­vers un web-docu­men­taire, nous vou­lons pré­sen­ter une de nos acti­vi­tés de Soli­da­ri­té Inter­na­tio­nale. En effet, Forum Lisan­ga ASBL mène un pro­jet de coopé­ra­tion au déve­lop­pe­ment en RDC dans la Ville pro­vince de Kin­sha­sa, par­ti­cu­liè­re­ment dans la Com­mune de la N’sele.
🌱 Women’s Green Impact veut d’une part, mettre en place un outil pour la trans­for­ma­tion de fruits et légumes et d’autre part, struc­tu­rer les dif­fé­rentes acti­vi­tés de notre public cible autour d’une coopé­ra­tive. L’enjeu est de ren­for­cer les capa­ci­tés de notre public cible. Au-delà de la pré­sen­ta­tion de ce pro­jet, nous vou­lons aus­si sus­ci­ter le débat autour des enjeux liés aux oppor­tu­ni­tés de la glo­ba­li­sa­tion à tra­vers le sec­teur de l’agriculture par­ti­cu­liè­re­ment de la valo­ri­sa­tion des pro­duits agricoles.
𝗣𝗹𝗮𝗻𝗻𝗶𝗻𝗴 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗽𝗿𝗲𝘀-𝗺𝗶𝗱𝗶 :
16h30 : Accueil et verre de bienvenue
17h30 : Pro­jec­tion du docu­men­taire et débat
19h00 : Dégus­ta­tion culinaire
20h00 : Ani­ma­tion musicale
22h00 : Fin
✅ ENTRÉE GRATUITE
✅ Ins­crip­tion sou­hai­té : info@​forumlisanga.​be
𝗗𝗲𝗰𝗼𝘂𝘃𝗿𝗲𝘇 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗤𝘂𝗶𝗻𝘇𝗮𝗶𝗻𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘀𝗼𝗹𝗶𝗱𝗮𝗿𝗶𝘁𝗲 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟮

Arrêter son projet : Exit strategy

Un jour, vous êtes sur le point de vous sépa­rer de votre orga­ni­sa­tion par­te­naire. Bonne nou­velle parce que l’or­ga­ni­sa­tion par­te­naire peut conti­nuer de manière indé­pen­dante, ou moins bonne nou­velle parce que vous ne pou­vez pas réunir suf­fi­sam­ment de fonds ? Dans tous les scé­na­rios, vous vou­lez pré­pa­rer cette sor­tie aus­si bien que pos­sible. C’est là que cette boîte à outils peut vous aider.

 

Pré­pa­rez-vous avec ce kit d’outils

Cette boîte à outils vous aide à éta­blir un diag­nos­tic de votre propre orga­ni­sa­tion. Vous met­tez votre orga­ni­sa­tion devant le miroir, pour ain­si dire. Pour les orga­ni­sa­tions cari­ta­tives qui pré­voient de se sépa­rer d’une orga­ni­sa­tion par­te­naire dans le pays en déve­lop­pe­ment (le “par­te­naire-où”) ou qui envi­sagent de se dis­soudre, le diag­nos­tic joue un rôle impor­tant dans la sortie.
Cette boîte à outils contient des études de cas, des recom­man­da­tions, un glos­saire et une liste de contrôle pra­tique pour la sor­tie. La boîte à outils se fonde sur une étude réa­li­sée par Martje Nooij auprès de neuf ini­tia­tives pri­vées (IP) néer­lan­daises qui ont ces­sé leurs acti­vi­tés ou envi­sagent de le faire.

À pro­pos du com­pi­la­teur de cette boîte à outils :

Martje Nooij (1952) a ter­mi­né son Mas­ter (MSc) en 2018 à l’U­ni­ver­si­té d’U­trecht à la Facul­té de droit, d’é­co­no­mie, de gou­ver­nance et d’or­ga­ni­sa­tion, Dépar­te­ment des sciences de la gou­ver­nance et de l’or­ga­ni­sa­tion avec sa recherche “Exit stra­te­gy : a mat­ter of doing, thin­king and sha­ring”. Elle lui a valu le prix de thèse NAP 2019, qui récom­pense la meilleure thèse dans le domaine de la philanthropie.

Il s’a­git d’une étude empi­rique sur neuf ini­tia­tives pri­vées (IP) néer­lan­daises qui sont ou ont été actives en Afrique du Sud, le pays où Martje Nooij a vécu et tra­vaillé pen­dant seize ans. Dans des recherches anté­rieures sur les IP (comme celles de van Kins­ber­gen, Schul­pen et Van den Berg), on a fait valoir qu’il serait utile d’exa­mi­ner la dura­bi­li­té du tra­vail des IP. La recherche de Nooij y répond en exa­mi­nant les résul­tats de neuf IP qui ont arrê­té ou pré­voyaient de le faire au moment de l’é­tude. Les conclu­sions se fondent sur une enquête, sur des entre­tiens avec des direc­teurs d’IP et sur des docu­ments des IP tels que des bul­le­tins d’in­for­ma­tion, des rap­ports annuels et des photographies.

Dans le der­nier cha­pitre, Nooij for­mule diverses recom­man­da­tions non seule­ment pour la pra­tique des IP, mais aus­si pour les dona­teurs, les orga­ni­sa­tions de dona­teurs et les conseillers en phi­lan­thro­pie. La recherche a per­mis de déga­ger plu­sieurs nou­velles idées.

 

Trois façons de tra­vailler : faire, pen­ser et partager

L’une des décou­vertes que j’ai faites dans le cadre de mes recherches sur la sor­tie des ini­tia­tives pri­vées (IP) néer­lan­daises est qu’elles ont trois méthodes de tra­vail dif­fé­rentes, qu’elles uti­lisent de manière inter­chan­geable. De nom­breux IP uti­lisent les trois : ils font, pensent et par­tagent, et cer­tains com­binent les deux. Sou­vent, une méthode de tra­vail est domi­nante, la domi­nante “D”. Pour que les choses soient claires : les trois “D” ne sont pas une carac­té­ri­sa­tion au sens de ce qu’est une orga­ni­sa­tion, il ne s’a­git donc pas d’une éti­quette, mais d’une indi­ca­tion de dif­fé­rentes manières d’a­gir ou de modèles com­por­te­men­taux. Grâce à cette boîte à outils, vous pou­vez trou­ver une réponse à la ques­tion sui­vante : quelle est la méthode de tra­vail domi­nante (le “D” domi­nant) de notre orga­ni­sa­tion, et com­ment puis-je contri­buer à des résul­tats durables – à la sortie ?

 

Les com­po­santes d’une stra­té­gie de sor­tie responsable

On peut dis­tin­guer plu­sieurs com­po­santes dans une stra­té­gie de sor­tie res­pon­sable. Il s’a­git de la pro­mo­tion de la capa­ci­té opé­ra­tion­nelle des par­te­naires sur place, de la diver­si­fi­ca­tion des dona­teurs (plu­sieurs dona­teurs sur place) et de la coor­di­na­tion des dona­teurs (consul­ta­tion entre les dona­teurs), des sor­ties par étapes et de l’im­pli­ca­tion éga­le­ment après la sor­tie. Cer­tains com­po­sants sont plus impor­tants que d’autres. La pro­mo­tion de la capa­ci­té opé­ra­tion­nelle est de loin la plus impor­tante. Il est éga­le­ment impor­tant de pré­voir une sor­tie par étapes et de conti­nuer à sou­te­nir le par­te­naire sur place pen­dant cette période. Cela vaut éga­le­ment pour la créa­tion d’une nou­velle rela­tion avec le par­te­naire pré­sent après la sor­tie. Pen­dant cette période, le par­te­naire pour­rait être sou­te­nu par un men­to­rat, par exemple. Il n’est pas néces­saire d’en­vi­sa­ger une sor­tie pré­ma­tu­rée. Atten­dez d’a­bord de voir si les acti­vi­tés sont fruc­tueuses. Après tout, tout est sujet à chan­ge­ment : ce qui a été déve­lop­pé au départ peut être dépas­sé, de nou­velles idées peuvent appa­raître et, en outre, le contexte peut chan­ger. Par exemple, si la légis­la­tion et les règle­ments changent.

Conseils et astuces pour la sortie

La ques­tion clé est : pour­quoi vou­lez-vous arrê­ter ? Y a‑t-il des rai­sons internes, des rai­sons qui se trouvent prin­ci­pa­le­ment du côté de votre ini­tia­tive du 4ème pilier ? Ou y a‑t-il des rai­sons externes, prin­ci­pa­le­ment du côté de votre par­te­naire ? Ou est-ce un mélange de rai­sons internes et externes ? Vous pou­vez trou­ver divers exemples dans la lit­té­ra­ture. Vous trou­ve­rez ci-des­sous les rai­sons de la sor­tie avec quelques ques­tions. En concer­ta­tion avec votre par­te­naire, posez d’a­bord le plus de ques­tions pos­sibles et ne réflé­chis­sez qu’en­suite aux réponses.

Les rai­sons les plus cou­rantes des sor­ties internes dues à des pro­blèmes de votre côté avec quelques ques­tions que vous pou­vez vous poser ci-dessous.

  • Les objec­tifs ont été atteints. > 
    Notre par­te­naire là-bas convient-il que les objec­tifs ont été atteints ? Avons-nous com­mu­ni­qué à plu­sieurs reprises que la sor­tie est immi­nente et notre par­te­naire sur place a‑t-il bien com­pris ? Avons-nous conve­nu d’un calen­drier et d’un retrait pro­gres­sif du sou­tien (finan­cier et moral) ? De quoi le par­te­naire a‑t-il encore besoin pour pou­voir conti­nuer sans nous ? Pou­vons-nous offrir cela ? Si non, qui le peut ? Com­ment main­te­nir la rela­tion après la sor­tie ? Et ain­si de suite.
  • Manque de main-d’œuvre ou de temps, d’éner­gie, de pas­sion ou d’ex­per­tise parce que les res­pon­sables se retirent et ne peuvent être rem­pla­cés. Le vieillis­se­ment est sou­vent un pro­blème, tan­dis que le rajeu­nis­se­ment est dif­fi­cile. Les jeunes semblent moins dis­po­sés à s’en­ga­ger pour une période plus longue.
    > Est-il pos­sible de trou­ver une autre orga­ni­sa­tion qui sou­haite reprendre notre ini­tia­tive du 4ème pilier ou fusion­ner avec nous ? Avons-nous envi­sa­gé et dis­cu­té les consé­quences pour le par­te­naire sur place ? Le par­te­naire d’i­ci peut-il être “adop­té” par la nou­velle orga­ni­sa­tion ? Que fai­sons-nous avec le reste de notre capi­tal ? Y a‑t-il des cadres qui sou­haitent être trans­fé­rés au conseil d’ad­mi­nis­tra­tion du par­te­naire d’ac­qui­si­tion ou au conseil d’ad­mi­nis­tra­tion de la nou­velle orga­ni­sa­tion fusion­née ? Et ain­si de suite.
  • Pas assez d’argent ou de dona­teurs. Par exemple, parce que le gou­ver­ne­ment ne four­nit plus de sub­ven­tions publiques pour la coopé­ra­tion au déve­lop­pe­ment dans cer­tains pays. > Avons-nous dis­cu­té du pro­blème avec notre pays par­te­naire ? Y a‑t-il d’autres dona­teurs que nous n’a­vons pas encore contac­tés ? Le par­te­naire local peut-il col­lec­ter des fonds dans son propre pays ? Pou­vons-nous les aider à mettre en place leur propre col­lecte de fonds et leur four­nir l’argent néces­saire ? Une for­ma­tion et un ensei­gne­ment sont-ils dis­po­nibles ou le par­te­naire peut-il orga­ni­ser une col­lecte de fonds pro­fes­sion­nelle ? Et ain­si de suite.
  • Stra­té­gie “Don­ner de son vivant” : don­ner jus­qu’à épui­se­ment du capi­tal. >Notre par­te­naire là-bas sait-il que nous avons cette stra­té­gie ? Avons-nous fait savoir à temps à notre par­te­naire là-bas que notre capi­tal s’é­puise ? Voir plus haut. Et ain­si de suite.
  • Conflits au sein de votre ini­tia­tive du 4ème pilier. Par exemple, en rai­son d’une fraude, d’une diver­gence d’o­pi­nion ou de dif­fé­rends per­son­nels. > Y a‑t-il (des soup­çons) de fraude ? Peut-on faire une enquête ? Quelles autres mesures pou­vons-nous prendre ? En cas de conflit (per­son­nel), peut-on faire appel à un média­teur ? Gar­dons-nous un œil sur les inté­rêts de notre par­te­naire sur place et sur ceux de notre propre orga­ni­sa­tion ? Pre­nons-nous en compte les coûts et les autres dom­mages, tels que l’at­teinte à la répu­ta­tion ? Et ain­si de suite.

Les rai­sons de sor­tie externe les plus cou­rantes sont dues à des pro­blèmes du côté de votre par­te­naire – voi­ci quelques ques­tions que vous pou­vez vous poser ci-dessous

  • Fraude, vol, abus ou autres irrégularités. 
    > Avons-nous com­mu­ni­qué avec le par­te­naire là-bas ? Y a‑t-il un mal­en­ten­du ou un manque de connais­sances ? Peut-on faire appel à un expert pour nous aider ? Y a‑t-il des mal­ver­sa­tions finan­cières ? Y a‑t-il plus de don­neurs endom­ma­gés ? Pou­vons-nous agir ensemble ? Cela vaut-il la peine de faire réa­li­ser un audit médi­co-légal ? Com­ment com­mu­ni­quons-nous avec les dona­teurs et les autres par­ties pre­nantes de notre ini­tia­tive du 4ème pilier ? Gar­dons-nous à l’es­prit les inté­rêts de nos par­te­naires sur place et de notre propre orga­ni­sa­tion ? Com­ment prendre en compte les coûts et autres dom­mages tels que l’at­teinte à la répu­ta­tion ? Et ain­si de suite.
  • Le par­te­naire ne veut plus de sou­tien à cause de la contre­par­tie exi­gée. Par exemple, des exi­gences trop strictes en matière de res­pon­sa­bi­li­té qui prennent tel­le­ment de temps que cela se fait au détri­ment du vrai travail.
    > Avons-nous deman­dé à notre par­te­naire quel est exac­te­ment le pro­blème ? Envi­sa­geons-nous de faire appel à un expert ? Ou est-ce qu’une modi­fi­ca­tion de notre pro­cé­dure résou­drait le problème ?
    Savons-nous com­ment les autres orga­ni­sa­tions demandent des comptes à leurs par­te­naires ? Et ain­si de suite.
  • Com­mu­ni­ca­tion médiocre/insuffisante entre votre ini­tia­tive du 4ème pilier et votre lieu-partenaire.
    > Avons-nous deman­dé à notre par­te­naire là-bas quel est le pro­blème ? Y a‑t-il un mal­en­ten­du ou un manque de connais­sances ? Peut-on faire appel à un expert ? Avons-nous clai­re­ment expli­qué à nos par­te­naires que sans infor­ma­tions, nous ne pou­vons pas rendre de comptes à nos dona­teurs et nous ne pou­vons pas col­lec­ter de fonds ? Et ain­si de suite.
  • Frais généraux/salaires éle­vés chez le par­te­naire. > Avons-nous dis­cu­té de cela avec le par­te­naire sur place ? Savons-nous ce que serait un salaire rai­son­nable pour des emplois simi­laires dans des orga­ni­sa­tions simi­laires ? Et ain­si de suite.
  • Conflit avec le par­te­naire en rai­son d’une dif­fé­rence d’o­pi­nion ou de dif­fé­rends personnels.
    > Avons-nous com­mu­ni­qué avec le par­te­naire à ce sujet ? Y a‑t-il un mal­en­ten­du ou des connais­sances insuf­fi­santes ? On peut faire appel à un expert ? Gar­dons-nous à l’es­prit les inté­rêts de l’or­ga­ni­sa­tion par­te­naire et de notre propre orga­ni­sa­tion ? Pre­nons-nous en compte les coûts et les autres dom­mages tels que l’at­teinte à la répu­ta­tion ? Et ain­si de suite.
  • Les per­sonnes de contact dis­pa­raissent, entre autres en rai­son du vieillis­se­ment. La plu­part des petites orga­ni­sa­tions dis­posent sou­vent d’un réseau limi­té, ce qui rend le rem­pla­ce­ment dif­fi­cile. > Pou­vons-nous trou­ver une ou plu­sieurs nou­velles per­sonnes de contact ? Pou­vons-nous trou­ver une ou plu­sieurs nou­velles per­sonnes de contact, par exemple dans une autre orga­ni­sa­tion (par exemple, une autre ini­tia­tive du 4e pilier ou un IP néer­lan­dais) ou une orga­ni­sa­tion au sens large ? Quelles sont les consé­quences de la perte des per­sonnes de contact pour nos acti­vi­tés sur place, ou pour la coopé­ra­tion ? Et ain­si de suite.
  • Les lois et règle­ments du pays de votre par­te­naire évoluent. > 
    Qu’est-ce qui change exac­te­ment ? Com­ment cela affecte-t-il votre par­te­naire-résident et vos acti­vi­tés ? Com­ment pour­riez-vous vous y adap­ter, vous et votre par­te­naire ? Et ain­si de suite.

En géné­ral, la pro­cé­dure de sor­tie est dis­cu­tée lors d’une ou plu­sieurs réunions du conseil d’ad­mi­nis­tra­tion. En termes de temps, la sor­tie de la déci­sion à la mise en œuvre prend plu­sieurs mois, mais par­fois plu­sieurs années. Pen­dant cette période, l’aide est géné­ra­le­ment sup­pri­mée pro­gres­si­ve­ment. Lors de la pro­cé­dure de sor­tie, le solde res­tant est par­fois dépen­sé pour l’or­ga­ni­sa­tion par­te­naire, mais par­fois aus­si pour d’autres orga­ni­sa­tions sur place. Après la sor­tie, il y a sou­vent encore des contacts avec l’an­cienne orga­ni­sa­tion par­te­naire, par écrit, ora­le­ment ou en per­sonne, mais le plus sou­vent par écrit. Une sor­tie pure­ment froide : démis­sion­ner uni­que­ment par manque d’argent, semble être rare.

La sépa­ra­tion est source de souffrance

La sépa­ra­tion est source de souf­france. La psy­chiatre Eli­sa­beth Kübler-Ross a décrit cinq phases dans le pro­ces­sus de deuil : le déni, la pro­tes­ta­tion (ou la colère), le mar­chan­dage et/ou la lutte, la dépres­sion et l’acceptation.
Les rai­sons d’ar­rê­ter semblent jouer un rôle impor­tant dans le pro­ces­sus de deuil. S’ar­rê­ter parce qu’on n’a pas réus­si ou parce que des pro­blèmes per­son­nels ont ren­du la tâche impos­sible, ou s’ar­rê­ter parce que l’ob­jec­tif a été atteint peut sus­ci­ter des émo­tions très dif­fé­rentes. En outre, les émo­tions seront dif­fé­rentes d’une per­sonne à l’autre. Cer­tains parlent d’un désastre per­son­nel ou de l’a­dieu à un “bébé” ou à l’œuvre d’une vie. Ils expriment la pas­sion et la mélan­co­lie. D’autres réagissent de manière plus laco­nique et disent : c’est bon, ou c’est le moment, c’é­tait bien, c’est bien d’a­voir fait, ou c’est fait. Mais la colère, la tris­tesse et la décep­tion peuvent éga­le­ment jouer un rôle, par exemple si vous vous sen­tez trom­pé par votre par­te­naire sur place. Vous pou­vez éga­le­ment vous sen­tir aban­don­né par vos col­lègues, vos col­la­bo­ra­teurs ou vos donateurs.

Et plus les émo­tions sont fortes pen­dant la coopé­ra­tion, plus il est pro­bable qu’elles le seront au moment des adieux. Dire au revoir prend du temps, alors faites-le étape par étape. Après des années de coopé­ra­tion, il n’est pas judi­cieux de tirer la prise. Selon Kübler-Ross, l’ac­cep­ta­tion est la der­nière étape du pro­ces­sus d’ac­cep­ta­tion du deuil. Il existe plu­sieurs exemples dans la lit­té­ra­ture qui peuvent aider, sur­tout lorsque le sen­ti­ment de ne pas avoir réus­si ou de ne pas être prêt domine.

Consi­dé­rez votre ini­tia­tive comme une expé­rience. Il n’existe pas de test per­met­tant de pré­dire si une approche fonc­tion­ne­ra. Pen­sez à l’ap­proche de la pan­dé­mie mon­diale de Covid-19, qui dif­fère d’un pays à l’autre ; ce sont toutes des expé­riences. Ce n’est qu’a­vec le recul que nous pou­vons déter­mi­ner ce qui aurait pu être fait mieux ou dif­fé­rem­ment, et cela vaut éga­le­ment pour votre propre approche. Voyez-le comme une leçon apprise, tant pour vous-même, votre propre orga­ni­sa­tion que pour votre par­te­naire et même pour des tiers. Parce que chaque leçon apprise peut être une inci­ta­tion à l’a­mé­lio­ra­tion ou à l’in­no­va­tion. Dans ce cas, il n’y a pas eu de gas­pillage d’argent ou de temps, mais un “argent d’ap­pren­tis­sage” et un “temps d’ap­pren­tis­sage” ont été dépen­sés. Il peut éga­le­ment y avoir un effet secon­daire. Il se peut que vous ne voyiez pas de résul­tats ou qu’ils soient insuf­fi­sants au moment de dire adieu, mais arrê­ter, même si c’est dou­lou­reux, peut même avoir des effets posi­tifs à long terme.

Le kit d’ou­tils contient quelques exemples d’or­ga­ni­sa­tions de déve­lop­pe­ment qui ont tiré les leçons de leurs expé­riences et les ont par­ta­gées publi­que­ment. Ils en ont tiré des leçons eux-mêmes et peut-être pou­vez-vous en tirer des leçons aussi.

Qu’est-ce qu’une association sans but lucratif (ASBL)

Qu’est-ce qu’une association sans but lucratif (ASBL) ?

Une asso­cia­tion sans but lucra­tif consiste en un groupe de per­sonnes phy­siques ou morales pour­sui­vant un but dés­in­té­res­sé. L’as­so­cia­tion sans but lucra­tif dif­fère de l’as­so­cia­tion pro­pre­ment dite.

L’as­so­cia­tion de fait n’a pas de per­son­na­li­té juri­dique, ses membres peuvent être tenus per­son­nel­le­ment res­pon­sables et inves­tir leurs propres biens.

L’as­so­cia­tion sans but lucra­tif a une per­son­na­li­té juri­dique propre, dis­tincte de celle de ses membres. La per­son­na­li­té juri­dique signi­fie que l’as­so­cia­tion sans but lucra­tif a des droits et des obli­ga­tions. Les membres ont une res­pon­sa­bi­li­té limi­tée et, en prin­cipe, n’in­ves­tissent pas leurs propres biens pour les obli­ga­tions de l’ASBL.

 

Fon­der et gérer une orga­ni­sa­tion à but non lucra­tif : Où pou­vez-vous trou­ver toutes les informations ?

Sur www​.monas​bl​.be, vous trou­ve­rez des outils pra­tiques que vous pou­vez uti­li­ser pour la ges­tion des ASBL, les finances, les assu­rances, la ges­tion des employés et l’administration.

Bro­chure – Le Ser­vice public fédé­ral Jus­tice a publié une bro­chure qui explique clai­re­ment toutes les infor­ma­tions de base. La bro­chure four­nit des réponses aux ques­tions sui­vantes, entre autres : Qu’est-ce qu’une orga­ni­sa­tion à but non lucra­tif ? Com­ment créer une orga­ni­sa­tion à but non lucra­tif ? Com­ment une orga­ni­sa­tion sans but lucra­tif est-elle orga­ni­sée ? Quelles sont les obli­ga­tions comp­tables des orga­ni­sa­tions sans but lucra­tif ? Com­ment la res­pon­sa­bi­li­té est-elle réglementée ?

Quand est-il utile de deve­nir une orga­ni­sa­tion à but non lucratif ?

La créa­tion d’une orga­ni­sa­tion sans but lucra­tif pré­sente de nom­breux avan­tages, mais l’ob­ten­tion de ce sta­tut entraîne des obli­ga­tions fis­cales, juri­diques et comp­tables. En outre, les for­ma­li­tés néces­saires entraînent des coûts. Il est donc impor­tant d’exa­mi­ner si le fait de deve­nir une orga­ni­sa­tion à but non lucra­tif consti­tue une valeur ajou­tée pour votre organisation.

Dans de nom­breux cas, il suf­fit de créer une asso­cia­tion de fait pour atteindre votre objectif :

  • Les acti­vi­tés de votre asso­cia­tion sont orga­ni­sées à une courte période de l’an­née. Par exemple : Votre asso­cia­tion orga­nise une fois par an une grande fête au pro­fit d’un pro­jet à l’étranger.
  • Votre asso­cia­tion compte peu de membres
  • Votre asso­cia­tion ne pos­sède pas de biens immobiliers

Conseil : si vous choi­sis­sez de res­ter une asso­cia­tion de fait, il est tou­jours conseillé de rédi­ger un règle­ment inté­rieur qui énu­mère les droits et obli­ga­tions des membres.

QUAND ?

Dans cer­tains cas, cepen­dant, il est conseillé de créer une orga­ni­sa­tion sans but lucra­tif dans l’in­té­rêt des membres ou de l’or­ga­ni­sa­tion elle-même.

- Votre asso­cia­tion conclut sou­vent des accords avec des enga­ge­ments financiers

- Votre asso­cia­tion sou­haite pos­sé­der des biens immo­bi­liers en son nom propre.

- Votre asso­cia­tion veut être recon­nue ou rece­voir des sub­ven­tions. Le gou­ver­ne­ment sti­pule sou­vent que le sta­tut d’or­ga­nisme sans but lucra­tif est une condi­tion pour obte­nir des subventions.

- Votre asso­cia­tion rece­vra des dons ou des legs. Cela n’est pos­sible que si l’or­ga­ni­sa­tion a une per­son­na­li­té juridique.

-Votre asso­cia­tion veut embau­cher du personnel.

 

Com­ment créer une orga­ni­sa­tion à but non lucra­tif en 5 étapes ?

Pour créer une asso­cia­tion sans but lucra­tif, vous devez suivre un cer­tain nombre d’é­tapes : réflé­chir, rédi­ger des sta­tuts, convo­quer une assem­blée consti­tu­tive et signer les sta­tuts, dépo­ser les sta­tuts et les publier au Moni­teur belge. Ils sont briè­ve­ment décrits ci-dessous.

Étape 1 : moment de réflexion : est-il néces­saire de créer une orga­ni­sa­tion sans but lucratif ?

La créa­tion d’une orga­ni­sa­tion sans but lucra­tif pré­sente de nom­breux avan­tages, mais l’ob­ten­tion de ce sta­tut entraîne des obli­ga­tions fis­cales, juri­diques et comp­tables. En outre, les for­ma­li­tés néces­saires entraînent des coûts. Il est donc impor­tant d’exa­mi­ner si le fait de deve­nir une orga­ni­sa­tion à but non lucra­tif consti­tue une valeur ajou­tée pour votre organisation.

Étape 2 : Rédac­tion des sta­tuts de l’association

Si la déci­sion est prise de créer une orga­ni­sa­tion à but non lucra­tif, des sta­tuts doivent être rédi­gés. Ce sont les prin­cipes de base de l’as­so­cia­tion sans but lucra­tif. Il est obli­ga­toire d’y inclure les élé­ments suivants :

  1. l’i­den­ti­té des fondateurs ;
  2. le nom et le siège social ;
  3. le nombre mini­mum de membres ;
  4. la des­crip­tion de l’objectif ;
  5. la manière dont les membres peuvent adhé­rer et démissionner ;
  6. les pou­voirs et la convo­ca­tion de l’as­sem­blée géné­rale, ain­si que la manière dont les réso­lu­tions de l’as­sem­blée géné­rale sont com­mu­ni­quées aux membres ;
  7. le mode de nomi­na­tion, de ces­sa­tion des fonc­tions et de révo­ca­tion des administrateurs ;
  8. le mon­tant maxi­mal des coti­sa­tions ou des paie­ments à effec­tuer par les membres ;
  9. la des­ti­na­tion des actifs en cas de dissolution ;
  10. la durée de l’association.

Vous pou­vez éga­le­ment trou­ver de nom­breux exemples de sta­tuts sur Internet.

Étape 3 : Réunion de fon­da­tion et signa­ture des sta­tuts de l’association

Lorsque les sta­tuts sont sur papier, invi­tez les membres fon­da­teurs à la réunion de fon­da­tion. Lors de cette réunion, les sta­tuts doivent être approu­vés à l’u­na­ni­mi­té (tout le monde doit être d’ac­cord). De même, les membres du conseil d’ad­mi­nis­tra­tion doivent être nom­més. Il doit y avoir autant de copies des sta­tuts qu’il y a de membres fon­da­teurs. Chaque exem­plaire est signé par tous les membres fon­da­teurs. Pour l’ins­tant, l’as­so­cia­tion existe entre les membres fon­da­teurs, mais pas encore pour les per­sonnes extérieures.

Étape 4 : Dépôt des sta­tuts de l’association

L’é­tape sui­vante consiste à dépo­ser les docu­ments sui­vants au greffe du tri­bu­nal de com­merce du lieu du siège de l’AS­BL : sta­tuts, actes de nomi­na­tion des admi­nis­tra­teurs, copie du registre des membres.

Étape 5 : Publi­ca­tion au Moni­teur belge

Cer­tains docu­ments qui ont été dépo­sés doivent éga­le­ment être publiés au Moni­teur belge. La demande de publi­ca­tion doit être faite au moyen du for­mu­laire ad hoc dis­po­nible auprès du greffe du tri­bu­nal de com­merce et sur le site inter­net du SPF Jus­tice. Elle doit être accom­pa­gnée d’un chèque rem­pli ou d’une preuve de vire­ment avec le mon­tant requis pour l’in­cor­po­ra­tion de l’AS­BL. Après l’ap­pro­ba­tion des sta­tuts, il peut s’é­cou­ler un cer­tain temps avant qu’ils ne soient publiés au Jour­nal offi­ciel. Mais à par­tir du moment où les sta­tuts sont signés lors de l’as­sem­blée consti­tu­tive, la per­son­na­li­té juri­dique de l’as­so­cia­tion s’ap­plique aux membres, aux fon­da­teurs et aux futurs membres, et les sta­tuts leur sont opposables.

Pour d’autres, il existe une “per­son­na­li­té juri­dique pro­vi­soire” en tant qu’ ”asso­cia­tion sans but lucra­tif en for­ma­tion”. L’ASBL acquiert défi­ni­ti­ve­ment la per­son­na­li­té juri­dique le jour du dépôt de ses sta­tuts et des actes de nomi­na­tion des admi­nis­tra­teurs au greffe du tri­bu­nal de com­merce de l’ar­ron­dis­se­ment judi­ciaire dans lequel l’AS­BL a son siège social (et ce dans les 30 jours sui­vant l’ap­pro­ba­tion des statuts).

 

 

Brussels Be Fair Award 2022

La pla­te­forme bruxel­loise du com­merce équi­table est heu­reuse de vous convier à la remise des prix aux lau­réats de la 1ère édi­tion du concours BRUSSELS BE FAIR AWARDS 2022.

La céré­mo­nie aura lieu le 12 mai 2022, à 16h, dans la Salle des Glaces du Par­le­ment bruxellois
(Rue du Lom­bard, 69). L’ac­cueil se fera à par­tir de 15h45.

Nous pour­rons comp­ter sur la présence :

  • de Pas­cal Smet, Secré­taire d’E­tat bruxel­lois en charge de la Coopé­ra­tion au Développement,
  • de Meryame Kitir (ou son​.sa représentant.e), Ministre fédé­rale de la Coopé­ra­tion au Développement,
    de Pison Kukun­dakwe, repré­sen­tant de Ankole Cof­fee Pro­du­cers Coope­ra­tive Limi­ted – ACPCU (Ougan­da),
  • de dépu­tés bruxellois,
  • et de membres de la pla­te­forme du com­merce équi­table en Région de Bruxelles-Capitale.

Pour célé­brer comme il se doit, un petit concert et un apé­ri­tif durable, local et fair trade vous seront offerts.

Nous espé­rons vous y voir nombreux

NB : mer­ci de confir­mer votre pré­sence par e‑mail à bi.​devco@​sprb.​brussels pour le 27 avril 2022.
La pla­te­forme bruxel­loise du com­merce équitable

Opleiding betreffende de opname van ethische clausules in overheidsopdrachten

Déso­lé, cet article est seule­ment dis­po­nible en NL.

In het kader van de cam­pagne “Maak van Brus­sel een Fair Trade Gewest” nodigt het Brus­sels Plat­form voor Eer­lijke Han­del* u uit voor een oplei­ding over de opname van ethische clau­sules in de aan­koop- en ove­rheid­sop­dracht­pro­ce­dures.

Voor wie ?

De oplei­ding is gericht op alle aan­ko­pers en verant­woor­de­lij­ken van ove­rheid­sop­drach­ten van de Gewes­te­lijke Ove­rheid­sdienst Brus­sel (GOB), van urban​.brus​sels, van talent​.brus​sels, van Brus­sel Fis­ca­li­teit, van de auto­nome bes­tuur­sins­tel­lin­gen (ABI’s) van 1e en 2e cate­go­rie, van de plaat­se­lijke bes­tu­ren (de gemeen­ten), van het Brus­selsPar­le­ment en van de minis­te­riële kabi­net­ten van de Brus­selse Rege­ring.

Over welke soort producten ?

De oplei­ding gaat zowel over fair­trade pro­mo­tiear­ti­ke­len als over tex­tiel, voe­ding en catering.

Wat zijn de doel­stel­lin­gen van de opleiding ?

  • Een over­zicht geven van het wet­te­lijke en gerech­te­lijke kader
  • De fair­tra­de­pro­duc­ten en ‑labels voors­tel­len en een mark­to­ver­zicht van deze pro­duc­ten geven
  • De moge­lij­khe­den uiteen­zet­ten en de ver­schil­lende manie­ren toe­lich­ten om ethische clau­sules te for­mu­le­ren in uw bestek
  • Enkele extra hul­pins­tru­men­ten aan­rei­ken om voor­rang te geven aan fairtradeproducten

Datum en plaats

De oplei­ding vindt plaats op dins­dag 26 april 2022 van 9.00 tot 12.00 uur in de gebou­wen van de GOB (Sint-Laza­rus­plein 2 in 1210 Sint-Joost-ten-Node) met nale­ving van de gel­dende gezondheidsmaatregelen.

Bij een hoog aan­tal inschri­j­vin­gen kan een tweede ses­sie wor­den gepland in de namid­dag van 14.00 tot 17.00 uur.

Inschri­j­vin­gen

Om zich in te schri­j­ven, dient u vóór 31 maart 2022 op deze link te klik­ken.

 

* Onder het geza­men­lijke beheer van Fair­trade Gemeente (FTG)/Oxfam en het Trade for Deve­lop­ment Cen­ter (Tdc)/Enabel, en bes­taande uit meer­dere leden waa­ron­der Miel Maya Honing, Fai­trade Bel­gium, Bel­gium Fair Trade Fede­ra­tion, Brus­sels Inter­na­tio­nal, hub​.brus​sels, Brus­selse gemeen­te­bes­tu­ren en leden uit het verenigingsleven.

Formation sur l’inclusion de clauses éthiques dans les marchés publics

La Pla­te­forme bruxel­loise du com­merce équi­table*, dans le cadre de la cam­pagne « Faire de Bruxelles-Capi­tale une région du com­merce équi­table », vous invite à par­ti­ci­per à une for­ma­tion sur l’inclusion de clauses éthiques dans les pro­cé­dures d’achats et de mar­chés publics.

Pour qui ?

La for­ma­tion s’adresse à tous les ache­teurs et les res­pon­sables de mar­chés publics du Ser­vice public régio­nal de Bruxelles (SPRB), de urban​.brus​sels, de talent​.brus​sels, de Bruxelles Fis­ca­li­té, des Orga­nismes admi­nis­tra­tifs auto­nomes (OAA) de 1ère et 2ème caté­go­ries, des pou­voirs locaux (les com­munes), du Par­le­ment bruxel­lois et des cabi­nets minis­té­riels du Gou­ver­ne­ment bruxellois.

Pour quels types de produits ?

La for­ma­tion porte tant sur les pro­duits équi­tables pro­mo­tion­nels que tex­tiles, ali­men­taires ou encore de catering.

Quels sont les objec­tifs de la formation ?

  • Don­ner un aper­çu du cadre légis­la­tif et jurisprudentiel
  • Pré­sen­ter les pro­duits équi­tables, les labels, un aper­çu du mar­ché de ces produits
  • Ouvrir les pos­si­bi­li­tés et détailler les dif­fé­rentes façons de rédi­ger les clauses éthiques dans son cahier des charges
  • Four­nir quelques outils d’aide sup­plé­men­taires pour pri­vi­lé­gier les pro­duits équitables

Date et lieu

La for­ma­tion aura lieu en pré­sen­tiel, le mar­di 26 avril 2022 de 9h à 12h au SPRB (Place Saint-Lazare, 2 à 1210 Saint-Josse-ten-Noode), dans le res­pect des mesures sani­taires en vigueur.

En cas de nombre éle­vé d’inscriptions, une deuxième ses­sion pour­ra être pla­ni­fiée l’après-midi de 14h à 17h.

Ins­crip­tions

Pour vous ins­crire, cli­quez sur ce lien avant le 31 mars 2022.

* Cogé­rée par Com­munes de Com­merce équi­table (CDCE)/Oxfam et le Trade for Deve­lop­ment Cen­ter (Tdc)/Enabel et comp­tant plu­sieurs membres dont Miel Maya Honing, Fai­trade Bel­gium, Bel­gium Fair Trade Fede­ra­tion, Brus­sels Inter­na­tio­nal, hub​.brus​sels, des admi­nis­tra­tions com­mu­nales bruxel­loises et des membres du milieu associatif.

Festival Afrodisiac

On estime à plus de 30 mil­lions le nombre d’enfants des rues pré­sents dans les villes africaines.

En Répu­blique Démo­cra­tique du Congo, plus de 20 000 enfants et jeunes mar­gi­na­li­sés sont contraints de vivre dans les rues de la capi­tale Kin­sha­sa. Afin d’offrir une pers­pec­tive d’avenir à ces jeunes et en par­te­na­riat avec le centre Like­mo, le fes­ti­val Afro­di­siac s’engage à prendre en charge pen­dant une année la sco­la­ri­té de plu­sieurs élèves, à for­mer les plus âgés à l’entreprenariat et à les accom­pa­gner dans la créa­tion d’entreprise grâce à une bourse.