‑Restauration
‑Ateliers de percussion-Scène ouverte-DJ
‑Musique/Concerts Live
Entrée Gratuite
Horaire : 12H-19H
Adresse : La Boutique Culturelle
Rue Van Lint, 16 – 1070 Anderlecht
Avec plus de 180 langues parlées quotidiennement, Bruxelles est connue comme la ville la plus multiculturelle d’Europe et la deuxième du monde après Dubaï ! Toutes ces cultures font la richesse de notre ville, aussi bien économiquement que culturellement.
Le cycle « ARTIVISM + DIASPORAS » radicalement positif et festif, ancré dans une nouvelle narration sur les migrations à Bruxelles vous invite à découvrir comment la communauté Roms et Doms préserve ses histoires culturelles. Comment s’engage-t-elle à Bruxelles, ville-monde où sont représentées près de 200 nationalités ? Qu’est-ce que ça signifie de s’engager en tant que diasporas dans cette ville-monde ? Ce cycle et cette nouvelle narration sur les migrations à Bruxelles répond à un objectif principal : travailler avec et pour les diasporas qui font de Bruxelles ce qu’elle est.
Depuis octobre 2021, avec le label United Stages Belgium, nous vous proposons d’aller à la rencontre des différentes diasporas bruxelloises et de célébrer leur résilience, leur ingéniosité et leurs accomplissements. Ce cinquième épisode met en lumière les communautés Roms & Doms avec un événement au cœur de la programmation Days4Ideas de La Bellone, lieu de rencontres dédiées à la fabrication et à l’expérimentation d’idées.
Le cinquième épisode, épisode bonus, est une dernière invitation au voyage et au partage. Pour célébrer leurs résilience et ingéniosité, des membres actifs des communautés Roms & Doms discuteront avec vous autour de leurs cultures, leurs langues et leurs arts.
Rendez-vous le 8 septembre à Cassonade, lieu de rencontre et restaurant solidaire locale créé par les habitants du quartier Duchesse à Molenbeek-Saint-Jean. Avec son modèle d’économie alternative, en particulier d’économie de don, l’équipe de Cassonade nous ouvre ses portes pour une soirée qui promet d’être riche d’échanges et de partage !
Un jour, vous êtes sur le point de vous séparer de votre organisation partenaire. Bonne nouvelle parce que l’organisation partenaire peut continuer de manière indépendante, ou moins bonne nouvelle parce que vous ne pouvez pas réunir suffisamment de fonds ? Dans tous les scénarios, vous voulez préparer cette sortie aussi bien que possible. C’est là que cette boîte à outils peut vous aider.
Préparez-vous avec ce kit d’outils
Cette boîte à outils vous aide à établir un diagnostic de votre propre organisation. Vous mettez votre organisation devant le miroir, pour ainsi dire. Pour les organisations caritatives qui prévoient de se séparer d’une organisation partenaire dans le pays en développement (le “partenaire-où”) ou qui envisagent de se dissoudre, le diagnostic joue un rôle important dans la sortie.
Cette boîte à outils contient des études de cas, des recommandations, un glossaire et une liste de contrôle pratique pour la sortie. La boîte à outils se fonde sur une étude réalisée par Martje Nooij auprès de neuf initiatives privées (IP) néerlandaises qui ont cessé leurs activités ou envisagent de le faire.
À propos du compilateur de cette boîte à outils :
Martje Nooij (1952) a terminé son Master (MSc) en 2018 à l’Université d’Utrecht à la Faculté de droit, d’économie, de gouvernance et d’organisation, Département des sciences de la gouvernance et de l’organisation avec sa recherche “Exit strategy : a matter of doing, thinking and sharing”. Elle lui a valu le prix de thèse NAP 2019, qui récompense la meilleure thèse dans le domaine de la philanthropie.
Il s’agit d’une étude empirique sur neuf initiatives privées (IP) néerlandaises qui sont ou ont été actives en Afrique du Sud, le pays où Martje Nooij a vécu et travaillé pendant seize ans. Dans des recherches antérieures sur les IP (comme celles de van Kinsbergen, Schulpen et Van den Berg), on a fait valoir qu’il serait utile d’examiner la durabilité du travail des IP. La recherche de Nooij y répond en examinant les résultats de neuf IP qui ont arrêté ou prévoyaient de le faire au moment de l’étude. Les conclusions se fondent sur une enquête, sur des entretiens avec des directeurs d’IP et sur des documents des IP tels que des bulletins d’information, des rapports annuels et des photographies.
Dans le dernier chapitre, Nooij formule diverses recommandations non seulement pour la pratique des IP, mais aussi pour les donateurs, les organisations de donateurs et les conseillers en philanthropie. La recherche a permis de dégager plusieurs nouvelles idées.
Trois façons de travailler : faire, penser et partager
L’une des découvertes que j’ai faites dans le cadre de mes recherches sur la sortie des initiatives privées (IP) néerlandaises est qu’elles ont trois méthodes de travail différentes, qu’elles utilisent de manière interchangeable. De nombreux IP utilisent les trois : ils font, pensent et partagent, et certains combinent les deux. Souvent, une méthode de travail est dominante, la dominante “D”. Pour que les choses soient claires : les trois “D” ne sont pas une caractérisation au sens de ce qu’est une organisation, il ne s’agit donc pas d’une étiquette, mais d’une indication de différentes manières d’agir ou de modèles comportementaux. Grâce à cette boîte à outils, vous pouvez trouver une réponse à la question suivante : quelle est la méthode de travail dominante (le “D” dominant) de notre organisation, et comment puis-je contribuer à des résultats durables – à la sortie ?
Les composantes d’une stratégie de sortie responsable
On peut distinguer plusieurs composantes dans une stratégie de sortie responsable. Il s’agit de la promotion de la capacité opérationnelle des partenaires sur place, de la diversification des donateurs (plusieurs donateurs sur place) et de la coordination des donateurs (consultation entre les donateurs), des sorties par étapes et de l’implication également après la sortie. Certains composants sont plus importants que d’autres. La promotion de la capacité opérationnelle est de loin la plus importante. Il est également important de prévoir une sortie par étapes et de continuer à soutenir le partenaire sur place pendant cette période. Cela vaut également pour la création d’une nouvelle relation avec le partenaire présent après la sortie. Pendant cette période, le partenaire pourrait être soutenu par un mentorat, par exemple. Il n’est pas nécessaire d’envisager une sortie prématurée. Attendez d’abord de voir si les activités sont fructueuses. Après tout, tout est sujet à changement : ce qui a été développé au départ peut être dépassé, de nouvelles idées peuvent apparaître et, en outre, le contexte peut changer. Par exemple, si la législation et les règlements changent.
Conseils et astuces pour la sortie
La question clé est : pourquoi voulez-vous arrêter ? Y a‑t-il des raisons internes, des raisons qui se trouvent principalement du côté de votre initiative du 4ème pilier ? Ou y a‑t-il des raisons externes, principalement du côté de votre partenaire ? Ou est-ce un mélange de raisons internes et externes ? Vous pouvez trouver divers exemples dans la littérature. Vous trouverez ci-dessous les raisons de la sortie avec quelques questions. En concertation avec votre partenaire, posez d’abord le plus de questions possibles et ne réfléchissez qu’ensuite aux réponses.
Les raisons les plus courantes des sorties internes dues à des problèmes de votre côté avec quelques questions que vous pouvez vous poser ci-dessous.
Les raisons de sortie externe les plus courantes sont dues à des problèmes du côté de votre partenaire – voici quelques questions que vous pouvez vous poser ci-dessous
En général, la procédure de sortie est discutée lors d’une ou plusieurs réunions du conseil d’administration. En termes de temps, la sortie de la décision à la mise en œuvre prend plusieurs mois, mais parfois plusieurs années. Pendant cette période, l’aide est généralement supprimée progressivement. Lors de la procédure de sortie, le solde restant est parfois dépensé pour l’organisation partenaire, mais parfois aussi pour d’autres organisations sur place. Après la sortie, il y a souvent encore des contacts avec l’ancienne organisation partenaire, par écrit, oralement ou en personne, mais le plus souvent par écrit. Une sortie purement froide : démissionner uniquement par manque d’argent, semble être rare.
La séparation est source de souffrance
La séparation est source de souffrance. La psychiatre Elisabeth Kübler-Ross a décrit cinq phases dans le processus de deuil : le déni, la protestation (ou la colère), le marchandage et/ou la lutte, la dépression et l’acceptation.
Les raisons d’arrêter semblent jouer un rôle important dans le processus de deuil. S’arrêter parce qu’on n’a pas réussi ou parce que des problèmes personnels ont rendu la tâche impossible, ou s’arrêter parce que l’objectif a été atteint peut susciter des émotions très différentes. En outre, les émotions seront différentes d’une personne à l’autre. Certains parlent d’un désastre personnel ou de l’adieu à un “bébé” ou à l’œuvre d’une vie. Ils expriment la passion et la mélancolie. D’autres réagissent de manière plus laconique et disent : c’est bon, ou c’est le moment, c’était bien, c’est bien d’avoir fait, ou c’est fait. Mais la colère, la tristesse et la déception peuvent également jouer un rôle, par exemple si vous vous sentez trompé par votre partenaire sur place. Vous pouvez également vous sentir abandonné par vos collègues, vos collaborateurs ou vos donateurs.
Et plus les émotions sont fortes pendant la coopération, plus il est probable qu’elles le seront au moment des adieux. Dire au revoir prend du temps, alors faites-le étape par étape. Après des années de coopération, il n’est pas judicieux de tirer la prise. Selon Kübler-Ross, l’acceptation est la dernière étape du processus d’acceptation du deuil. Il existe plusieurs exemples dans la littérature qui peuvent aider, surtout lorsque le sentiment de ne pas avoir réussi ou de ne pas être prêt domine.
Considérez votre initiative comme une expérience. Il n’existe pas de test permettant de prédire si une approche fonctionnera. Pensez à l’approche de la pandémie mondiale de Covid-19, qui diffère d’un pays à l’autre ; ce sont toutes des expériences. Ce n’est qu’avec le recul que nous pouvons déterminer ce qui aurait pu être fait mieux ou différemment, et cela vaut également pour votre propre approche. Voyez-le comme une leçon apprise, tant pour vous-même, votre propre organisation que pour votre partenaire et même pour des tiers. Parce que chaque leçon apprise peut être une incitation à l’amélioration ou à l’innovation. Dans ce cas, il n’y a pas eu de gaspillage d’argent ou de temps, mais un “argent d’apprentissage” et un “temps d’apprentissage” ont été dépensés. Il peut également y avoir un effet secondaire. Il se peut que vous ne voyiez pas de résultats ou qu’ils soient insuffisants au moment de dire adieu, mais arrêter, même si c’est douloureux, peut même avoir des effets positifs à long terme.
Le kit d’outils contient quelques exemples d’organisations de développement qui ont tiré les leçons de leurs expériences et les ont partagées publiquement. Ils en ont tiré des leçons eux-mêmes et peut-être pouvez-vous en tirer des leçons aussi.
Une association sans but lucratif consiste en un groupe de personnes physiques ou morales poursuivant un but désintéressé. L’association sans but lucratif diffère de l’association proprement dite.
L’association de fait n’a pas de personnalité juridique, ses membres peuvent être tenus personnellement responsables et investir leurs propres biens.
L’association sans but lucratif a une personnalité juridique propre, distincte de celle de ses membres. La personnalité juridique signifie que l’association sans but lucratif a des droits et des obligations. Les membres ont une responsabilité limitée et, en principe, n’investissent pas leurs propres biens pour les obligations de l’ASBL.
Fonder et gérer une organisation à but non lucratif : Où pouvez-vous trouver toutes les informations ?
Sur www.monasbl.be, vous trouverez des outils pratiques que vous pouvez utiliser pour la gestion des ASBL, les finances, les assurances, la gestion des employés et l’administration.
Brochure – Le Service public fédéral Justice a publié une brochure qui explique clairement toutes les informations de base. La brochure fournit des réponses aux questions suivantes, entre autres : Qu’est-ce qu’une organisation à but non lucratif ? Comment créer une organisation à but non lucratif ? Comment une organisation sans but lucratif est-elle organisée ? Quelles sont les obligations comptables des organisations sans but lucratif ? Comment la responsabilité est-elle réglementée ?
Quand est-il utile de devenir une organisation à but non lucratif ?
La création d’une organisation sans but lucratif présente de nombreux avantages, mais l’obtention de ce statut entraîne des obligations fiscales, juridiques et comptables. En outre, les formalités nécessaires entraînent des coûts. Il est donc important d’examiner si le fait de devenir une organisation à but non lucratif constitue une valeur ajoutée pour votre organisation.
Dans de nombreux cas, il suffit de créer une association de fait pour atteindre votre objectif :
Conseil : si vous choisissez de rester une association de fait, il est toujours conseillé de rédiger un règlement intérieur qui énumère les droits et obligations des membres.
QUAND ?
Dans certains cas, cependant, il est conseillé de créer une organisation sans but lucratif dans l’intérêt des membres ou de l’organisation elle-même.
- Votre association conclut souvent des accords avec des engagements financiers
- Votre association souhaite posséder des biens immobiliers en son nom propre.
- Votre association veut être reconnue ou recevoir des subventions. Le gouvernement stipule souvent que le statut d’organisme sans but lucratif est une condition pour obtenir des subventions.
- Votre association recevra des dons ou des legs. Cela n’est possible que si l’organisation a une personnalité juridique.
-Votre association veut embaucher du personnel.
Comment créer une organisation à but non lucratif en 5 étapes ?
Pour créer une association sans but lucratif, vous devez suivre un certain nombre d’étapes : réfléchir, rédiger des statuts, convoquer une assemblée constitutive et signer les statuts, déposer les statuts et les publier au Moniteur belge. Ils sont brièvement décrits ci-dessous.
Étape 1 : moment de réflexion : est-il nécessaire de créer une organisation sans but lucratif ?
La création d’une organisation sans but lucratif présente de nombreux avantages, mais l’obtention de ce statut entraîne des obligations fiscales, juridiques et comptables. En outre, les formalités nécessaires entraînent des coûts. Il est donc important d’examiner si le fait de devenir une organisation à but non lucratif constitue une valeur ajoutée pour votre organisation.
Étape 2 : Rédaction des statuts de l’association
Si la décision est prise de créer une organisation à but non lucratif, des statuts doivent être rédigés. Ce sont les principes de base de l’association sans but lucratif. Il est obligatoire d’y inclure les éléments suivants :
Vous pouvez également trouver de nombreux exemples de statuts sur Internet.
Étape 3 : Réunion de fondation et signature des statuts de l’association
Lorsque les statuts sont sur papier, invitez les membres fondateurs à la réunion de fondation. Lors de cette réunion, les statuts doivent être approuvés à l’unanimité (tout le monde doit être d’accord). De même, les membres du conseil d’administration doivent être nommés. Il doit y avoir autant de copies des statuts qu’il y a de membres fondateurs. Chaque exemplaire est signé par tous les membres fondateurs. Pour l’instant, l’association existe entre les membres fondateurs, mais pas encore pour les personnes extérieures.
Étape 4 : Dépôt des statuts de l’association
L’étape suivante consiste à déposer les documents suivants au greffe du tribunal de commerce du lieu du siège de l’ASBL : statuts, actes de nomination des administrateurs, copie du registre des membres.
Étape 5 : Publication au Moniteur belge
Certains documents qui ont été déposés doivent également être publiés au Moniteur belge. La demande de publication doit être faite au moyen du formulaire ad hoc disponible auprès du greffe du tribunal de commerce et sur le site internet du SPF Justice. Elle doit être accompagnée d’un chèque rempli ou d’une preuve de virement avec le montant requis pour l’incorporation de l’ASBL. Après l’approbation des statuts, il peut s’écouler un certain temps avant qu’ils ne soient publiés au Journal officiel. Mais à partir du moment où les statuts sont signés lors de l’assemblée constitutive, la personnalité juridique de l’association s’applique aux membres, aux fondateurs et aux futurs membres, et les statuts leur sont opposables.
Pour d’autres, il existe une “personnalité juridique provisoire” en tant qu’ ”association sans but lucratif en formation”. L’ASBL acquiert définitivement la personnalité juridique le jour du dépôt de ses statuts et des actes de nomination des administrateurs au greffe du tribunal de commerce de l’arrondissement judiciaire dans lequel l’ASBL a son siège social (et ce dans les 30 jours suivant l’approbation des statuts).
On estime à plus de 30 millions le nombre d’enfants des rues présents dans les villes africaines.
En République Démocratique du Congo, plus de 20 000 enfants et jeunes marginalisés sont contraints de vivre dans les rues de la capitale Kinshasa. Afin d’offrir une perspective d’avenir à ces jeunes et en partenariat avec le centre Likemo, le festival Afrodisiac s’engage à prendre en charge pendant une année la scolarité de plusieurs élèves, à former les plus âgés à l’entreprenariat et à les accompagner dans la création d’entreprise grâce à une bourse.