Uccle : Vernissage “Enfants juifs originaires de Belgique réfugiés dans le village d’Izieu” et “Disparus de Gatti de Gamond – Ne meurent que ceux que l’on oublie”

Le Bourg­mestre, l’É­che­vine de la Soli­da­ri­té Inter­na­tio­nale et le Col­lège des Éche­vins ont le plai­sir de vous invi­ter au ver­nis­sage des expo­si­tions ENFANTS JUIFS ORIGINAIRES DE BELGIQUE RÉFUGIÉS DANS LE VILLAGE D’IZIEU, MAI 1943 – 6 AVRIL 1944 ET DISPARUS DE GATTI DE GAMOND – NE MEURENT QUE CEUX QUE L’ON OUBLIE

Orga­ni­sées en col­la­bo­ra­tion avec La Mai­son d’I­zieu, Mémo­rial des enfants juifs exter­mi­nés, l’ad­mi­nis­tra­tion com­mu­nale de Molen­beek-Saint-Jean et L’As­so­cia­tion pour la Mémoire de la Shoah.

Le mar­di 14 mai à 18h au Centre Cultu­rel d’Uccle

En pré­sence de : Ber­trand Wert, Admi­nis­tra­teur délé­gué « Mai­son d’I­zieu en Bel­gique » et Fré­dé­ric Dam­bre­ville, auteur du livre « Les Dis­pa­rus de Gat­ti de Gamond CFC-Editions »

Location d’ordinateurs

Forum Lisan­ga asbl offre la loca­tion gra­tuite d’or­di­na­teurs por­tables à la communauté !

 

Forum lisan­ga asbl a été en 2017. Les objec­tifs de l’as­so­cia­tion sont :

Créer un espace de sou­tien pour les asso­cia­tion actives dans le domaine du vivre ensemble ;
Créer un espace de dia­lo­guer entre les dif­fé­rentes com­mu­nau­tés, entre les dif­fé­rentes géné­ra­tions et entre les hommes et les femmes en vue de ren­for­cer le vivre ensemble, la cohé­sion sociale ;
Sti­mu­ler les acti­vi­tés spor­tives, cultu­relles, sociales et éco­no­miques de tous par­ti­cu­liè­re­ment des per­sonnes issues de la diver­si­té afin de ren­for­cer leur par­ti­ci­pa­tion au sein de la société ;
Créer un réseau de soli­da­ri­té entre les dyna­miques asso­cia­tives d’i­ci et d’ailleurs.

Woluwe-Saint-Pierre : semaine de solidarité MENA

Des mil­lions de per­sonnes, dont des MENA, fuient chaque année leur foyer en rai­son de guerres, de per­sé­cu­tions poli­tiques, de vio­la­tions des droits humains ou de catas­trophes naturelles.

 

Aujourd’hui, les conflits armés en Pales­tine, au Congo et ailleurs dans le monde entrainent d’énormes souf­frances et des pertes tra­giques de vies humaines, dont des femmes et des enfants.

La ques­tion des migra­tions est l’un des défis les plus urgents et com­plexes de notre époque, où se rejoignent des ques­tions de droits humains, d’humanité, de soli­da­ri­té et de coopé­ra­tion internationale.

Notre com­mune compte sur son ter­ri­toire un Centre d’accueil Feda­sil pour mineurs non accom­pa­gnés (MENA). Ils y reçoivent avant tout un sou­tien humain et maté­riel (loge­ment, nour­ri­ture, vête­ments) mais éga­le­ment une assis­tance sociale, juri­dique, médi­cale et psy­cho­lo­gique. Plu­sieurs de nos conci­toyens y par­ti­cipent béné­vo­le­ment à l’organisation d’activités socioculturelles.

Ce mois d’avril, une semaine leur sera spé­cia­le­ment consa­crée au WHalll, avec au programme :

  • Expo­si­tion « Connec­ting through art » ‑des­sins et pein­tures de MENA – du 16 au 21 avril
  • Ver­nis­sage le 17 avril à 18h30, sui­vi à 20h d’un débat /table ronde autour de la thé­ma­tique de l’accueil des MENA. Ce sera l’occasion d’échanger sur le sys­tème de tuto­rat et l’intégration des mineurs dans un quar­tier. Par­mi les inter­ve­nants : un tuteur, un psy­cho­logue de Feda­sil, Chris­tophe Ber­trand, ain­si que Solaÿ­man Laq­dim, délé­gué géné­ral aux droits de l’enfant.
  • Pro­jec­tion de FLEE, un film docu­men­taire d’animation retra­çant l’histoire vraie d’un jeune réfu­gié afghan, le 16 avril (deux séances à 14h30 et 20h).

Ce sera l’occasion de conti­nuer à favo­ri­ser l’intégration de ces jeunes, de ren­for­cer encore la coexis­tence har­mo­nieuse au sein du quar­tier, et de témoi­gner de notre solidarité.

Séance d’information APPEL À PROJET BRUSSELS INTERNATIONAL

La Région de Bruxelles-Capi­tale sou­haite contri­buer à l’éradication de la pau­vre­té dans le monde, et se joint aux efforts de la Bel­gique et de la com­mu­nau­té inter­na­tio­nale visant à mettre en place un déve­lop­pe­ment durable et un monde plus juste. Ces efforts s’insèrent aujourd’hui au sein du nou­veau cadre des Nations Unies que consti­tuent les 17 objec­tifs de déve­lop­pe­ment durable (ODD).

Afin de répondre à ces objec­tifs, et consciente de l’importance crois­sante des auto­ri­tés régio­nales et locales dans le domaine de la coopé­ra­tion au déve­lop­pe­ment, la Région de Bruxelles-Capi­tale lance pour la sep­tième année consé­cu­tive un appel à pro­jets en matière de sen­si­bi­li­sa­tion à une citoyen­ne­té mon­diale et soli­daire dans le cadre de sa poli­tique de coopé­ra­tion au développement.

Afin de construire un monde plus équi­table, inclu­sif et durable, cette année, l’appel à pro­jets se foca­li­se­ra sur la thé­ma­tique du dia­logue inter­cul­tu­rel. Les pro­jets devront s’inscrire dans cette thé­ma­tique liée à de nom­breux sujets d’actualité comme le conflit israé­lo-pales­ti­nien, la déco­lo­ni­sa­tion, la migration…

Une séance d’informations en pré­sen­tiel sera orga­ni­sée par BI (Brus­sels Inter­na­to­nal) le jeu­di 18 avril 2024 à l’Iris Tower (Pl. Saint-Lazare 2, 1210 Saint-Josse-ten-Noode), à 14 heuresPour vous y ins­crire, nous vous prions d’envoyer un e‑mail à l’adresse bi.​devco@​sprb.​brussels.

Saint-Gilles et Berkane : une collaboration fructueuse depuis plus de 10 ans

En 2007, la com­mune de Saint-Gilles démarre un par­te­na­riat en coopé­ra­tion inter­na­tio­nale avec la com­mune de Ber­kane au Maroc. Aujourd’hui encore, les deux com­munes conti­nuent à tra­vailler ensemble sur la thé­ma­tique de l’action sociale en cher­chant à : « Déve­lop­per la poli­tique d’action sociale au tra­vers de la pro­fes­sion­na­li­sa­tion et la péren­ni­sa­tion d’un ser­vice d’Action sociale et de pro­jets sociaux inté­grés et coor­don­nés avec les autres acteurs sociaux au béné­fice des citoyen•es en géné­ral et des plus défavorisé•es en particulier ». 

Au com­men­ce­ment du par­te­na­riat, cer­taines dif­fi­cul­tés se sont fait res­sen­tir, en par­ti­cu­lier dans la capa­ci­té de la com­mune de Ber­kane à s’inscrire dans le pro­ces­sus de l’Initiative Natio­nale de Déve­lop­pe­ment Humain au Maroc, et dans la néces­si­té de mener davan­tage de pro­jets. De plus, le par­te­na­riat a connu une inter­rup­tion de deux ans. Il reprend en 2010 avec le constat que mal­gré le fait que la com­mune de Ber­kane finance des pro­jets, la com­pé­tence sociale est gérée par l’associatif.

Déve­lop­pe­ment du projet

Après avoir visi­té la com­mune de Saint-Gilles et son fonc­tion­ne­ment, des élu•es de la com­mune de Ber­kane ont mis en place un nou­veau dépar­te­ment des Affaires sociales et Cultu­relles. Au fil du temps, une nou­velle vision de la poli­tique sociale est née, menant à des chan­ge­ments au niveau de l’administration, du sec­teur asso­cia­tif et des ins­ti­tu­tions régio­nales et gouvernementales.

Dans un pre­mier temps, une ana­lyse sociale a été réa­li­sée, avec la défi­ni­tion d’un plan plu­ri­an­nuel d’actions, et la struc­tu­ra­tion du dépar­te­ment. Dans un second temps, le recen­se­ment de tous les acteur•ices sociaux•ales et culturel•les a per­mis de créer un nou­vel outil de réseau­tage qui est le rele­vé social et cultu­rel. Des pre­miers chan­ge­ments voient le jour avec notam­ment un ren­for­ce­ment de la trans­pa­rence entre la com­mune de Ber­kane et les associations.

Depuis 2010, la com­mune de Saint-Gilles est par­ti­cu­liè­re­ment active sur la for­ma­tion des fonc­tion­naires, afin de ren­for­cer les com­pé­tences de la com­mune de Ber­kane pour leur per­mettre d’apporter de meilleurs ser­vices aux citoyen·nes. En 2012, de nou­velles for­ma­tions sont orga­ni­sées per­met­tant aux travailleur·euses sociaux•ales des asso­cia­tions de diver­si­fier leur champ de com­pé­tences avec des thé­ma­tiques por­tant autant sur l’action sociale, que sur les tech­niques de pla­ni­fi­ca­tion, sur le mon­tage de pro­jets, … Cette même année, des tra­vaux sont effec­tués au sein de la com­mune maro­caine pour réamé­na­ger et réno­ver la salle poly­va­lente et la biblio­thèque com­mu­nale de Berkane.

En 2014, les deux com­munes tra­vaillent sur la mise en acti­vi­tés et l’équipement de deux centres de qua­li­fi­ca­tion pour femmes et d’un centre spor­tif au quar­tier Trif­fa, qui sont situés dans des quar­tiers défa­vo­ri­sés. En 2016, la com­mune de Ber­kane approuve un règle­ment rela­tif à l’octroi de sub­side par le Conseil com­mu­nal. A la suite de la mise en place de tous ces pro­jets, le constat final de 2016 est clair : il existe une « poli­tique sociale défi­nie en phase avec les réa­li­tés locales, un dépar­te­ment des affaires sociales et cultu­relles pro­fes­sion­na­li­sé et outillé pour por­ter des pro­jets sociaux inté­grés et coor­don­nés avec les autres acteur•ices au béné­fice des citoyen·nes ».

Dans la conti­nui­té du tra­vail four­ni, un nou­veau pro­gramme est dépo­sé pour les périodes allant de 2017 à 2021. Ce der­nier a pour voca­tion de « pour­suivre ce fruc­tueux par­te­na­riat ain­si que conso­li­der et ren­for­cer la pro­fes­sion­na­li­sa­tion du dépar­te­ment, favo­ri­ser la dyna­mique asso­cia­tive en appui à la poli­tique sociale communale ».

L’insertion pro­fes­sion­nelle des femmes

Dès 2014, avec l’ouverture des deux centres de qua­li­fi­ca­tions pour femmes, dif­fé­rents types d’activités sont alors mis en place, comme des ate­liers d’arts culi­naires, d’informatique, de coif­fure et esthé­tique, de cou­ture moderne et tra­di­tion­nelle, … Il était impor­tant pour les com­munes de res­pec­ter le sou­hait des femmes avant tout. C’est pour­quoi les for­ma­tions pro­po­sées concernent plu­sieurs thé­ma­tiques de métiers.

Le pro­jet est une véri­table réus­site. Quelques années après son lan­ce­ment, les résul­tats sont déjà visibles. Des femmes sont diplô­mées, et cer­taines d’entre elles ont même trou­vé un tra­vail ou ont choi­si de lan­cer leur pro­jet. C’est d’ailleurs pour ces der­nières que les com­munes ont eu l’idée de mettre en place un accom­pa­gne­ment pro­fes­sion­nel. Le pro­ces­sus de for­ma­tion est pen­sé pour les aider à réflé­chir sur les pro­jets à mettre en place et de les pérenniser.

En 2022, les com­munes de Saint-Gilles et Ber­kane recon­duisent leur par­te­na­riat jusqu’en 2026. Par­mi les acti­vi­tés pro­po­sées dans ce nou­veau pro­gramme, un focus est mis sur le cycle de for­ma­tion au pro­fit des lau­réates des CQF (Centres de Qua­li­fi­ca­tions pour les Femmes). En effet, à la suite des for­ma­tions réa­li­sées en 2021, des fiches d’évaluation ont été confiées à ces béné­fi­ciaires.  Elles ont ain­si pu expri­mer leurs attentes et leurs besoins concer­nant les for­ma­tions don­nées. De plus, après concer­ta­tion avec l’Entraide Natio­nale, par­te­naire offi­ciel de la Com­mune de Ber­kane dans la ges­tion des CQF et res­pon­sable du pro­gramme péda­go­gique et des exa­mens, il a été déci­dé que des notions éco­no­miques seraient inté­grées dans le pro­gramme et dans l’examen annuel.

La dimen­sion sociale des centres 

Au-delà de toutes les thé­ma­tiques pro­po­sées comme l’informatique, les tech­niques de vente, ou encore la com­mu­ni­ca­tion, d’autres ate­liers comme la ges­tion de conflits sont aus­si mis en place. L’une des prio­ri­tés des centres est la bien­veillance des for­ma­trices. En effet, il est impor­tant qu’elles puissent s’entretenir avec cha­cune des béné­fi­ciaires, âgées de 15 à 55 ans, qu’elles puissent adop­ter une bonne com­mu­ni­ca­tion et gérer les pro­blèmes qui peuvent arri­ver lors des ateliers.

Si les femmes fré­quentent le centre essen­tiel­le­ment dans le but d’apprendre, la dimen­sion sociale que revêt un tel pro­jet est non négli­geable.  Chaque femme a un par­cours dif­fé­rent, et cer­taines arrivent dans un moment de fra­gi­li­té. Les centres peuvent alors être vus comme des refuges, leur per­met­tant un moment d’évasion. Pour Nadia Moum­ni qui coor­donne le par­te­na­riat pour la com­mune de Ber­kane et Naï­ma Ama­ra qui coor­donne le par­te­na­riat pour la com­mune de Saint-Gilles, les centres répondent à un besoin d’être enten­dues et consi­dé­rées en tant que femme et pas seule­ment en tant que mère ou épouse. Une vraie démarche par­ti­ci­pa­tive est mise en œuvre, les femmes sont consul­tées, des temps de debrie­fing pour les pro­grammes sont pré­vus, leur per­met­tant d’émettre des idées et des pro­po­si­tions. En s’engageant dans ce pro­ces­sus de for­ma­tion, c’est un diplôme qu’elles acquièrent, ce qui est très valo­ri­sant pour les participantes.

Lors des pre­mières années de fonc­tion­ne­ment des centres, les deux coor­di­na­trices du pro­jet admettent avoir par­fois per­çu une cer­taine réti­cence de la part des maris et pères des béné­fi­ciaires. Un dia­logue c’est consti­tué pour que cha­cun puisse com­prendre l’importance et l’utilité de ces deux struc­tures. Avec le temps, tout le monde a com­pris le sérieux deman­dé : les absences sont à évi­ter, il faut res­pec­ter le règle­ment ain­si que le plan­ning de tra­vail mis en place. Contrai­re­ment au début, ce sont main­te­nant les hommes, pères de famille et époux, qui viennent d’eux-mêmes se ren­sei­gner et qui encou­ragent leur femme et fille à s’inscrire aux formations.

De manière concrète, beau­coup de femmes ayant sui­vi ces pro­grammes de for­ma­tion ont réus­si à s’émanciper et à deve­nir plus indé­pen­dantes. Cer­taines ont ouvert leur salon de coif­fure, d’autres ont créé leur coopé­ra­tive, ou sont deve­nues pâtissières,…

Les com­munes de Ber­kane et de Saint-Gilles ne comptent pas s’arrêter là, et conti­nuent à pen­ser à de nou­veaux pro­jets tout aus­si prometteurs.

Synergies entre communes et diaspora dans l’humanitaire : rapportage

Dans le cadre de la Quin­zaine de la Soli­da­rité inter­na­tio­nale de la Ville de Bruxelles, et du Fes­ti­val de la Soli­da­rité inter­na­tio­nale d’An­der­lecht, s’est tenu un événement de réflexions autour de ces réponses aux crises huma­ni­taires. Co-orga­nisé par la com­mune d’An­der­lecht, la Ville de Bruxelles et la pla­te­forme Soli­ris, cet espace d’échanges et dedis­cus­sions a ras­semblé des acteur·ices des com­munes et du monde asso­cia­tif bruxel­lois, afin de débattre sur cet enjeu : com­ment et avec quelles plus-values et spécificités tra­vailler ensemble face à l’urgence humanitaire ?

Cette fiche présente suc­cinc­te­ment le fruit de ces réflexions.

Molenbeek : concours d’éloquence

A l’occasion de la Jour­née Inter­na­tio­nale des Droits de la Femme, la com­mune de Molen­beek-Saint-Jean orga­nise un concours d’éloquence le ven­dre­di 08 mars 2024 à par­tir de 18h30 au Centre Com­mu­nau­taire Mari­time (Rue Van­den­boo­gaerde 93, 1080 Molen­beek-Saint-Jean). Ce concours allie­ra l’art ora­toire des candidat.e.s ain­si que les tableaux du jeux concours “Géné­ra­tion Ega­li­té, Ima­gi­nez-la!” lan­cé par l’ONU Femmes.

Formation gestion de projet “Education et sensibilisation” 2/2

For­mez vous aux outils de la ges­tion de pro­jet et faites accom­pa­gner vos pro­jets de sen­si­bi­li­sa­tion éli­gibles à l’AAP Soli­da­ri­té Inter­na­tio­nale de la Ville de Bruxelles par Joyce Luluaba.

Ouvert à tous, focus asso­cia­tions de dia­spo­ras afri­caines et les pro­jets de sen­si­bi­li­sa­tion et d’éducation

 

Au CNCD-11.11.11 (9, quai du com­merce 1000 bruxelles)

 

De 10h à 16h30

 

Com­ment y par­ti­ci­per ? Ins­crip­tion obli­ga­toire avant le 14/03/2024

Rem­plis­sez tout sim­ple­ment le for­mu­laire.

Comment répondre à l’appel à projet de la ville de Bruxelles 1/2

Pré­sen­ta­tion de l’AAP par le bailleur – Ani­ma­tion synergies/partenariats – Networking

Au CNCD-11.11.11 (9, quai du com­merce 1000 bruxelles)

 

 

Le week-end du 16 et 17 mars  le pro­gramme de for­ma­tion “Com­ment répondre à l’ap­pel à pro­jet de…” reprend.

Cette fois autour de l’ap­pel à pro­jet (AAP) Soli­da­ri­té Inter­na­tio­nale de la Ville de Bruxelles.

 

De 10h à 14h30

Venez décou­vrir l’appel, son règle­ment, posez vos ques­tions au bailleur. Pit­chez votre pro­jet aux autres membres pour trou­ver des par­te­naires ou des expertises.

 

Com­ment y participer ?

Ins­cri­vez vous via le for­mu­laire et décou­vrez les thèmes de l’ap­pel à pro­jet sur le site.

 

Pro­gramme

9h45 Ouver­ture des portes

10h Accueil

10h30 Pré­sen­ta­tion de l’AAP par le bailleur : Ville de Bruxelles 

12h30 Pré­sen­ta­tion des outils “pitch mon pro­jet” par soli​ris​.brus​sels pour 

Networking/ recherches de syner­gies et de partenariats

 ATTENTION : Lunch non prévu

 

Pour­sui­vez la mise en réseau

–> Départ grou­pé pour la récep­tion du 4de pij­ler dag ou ren­dez-vous au par­le­ment flamand

https://​11​.be/​4​d​e​p​i​j​l​e​r​/​w​o​r​k​s​h​o​p​s​-​d​a​g​-​v​a​n​-​d​e​-​4​d​e​-​p​i​j​ler

Accompagnement individuel

Les dates d’accompagnements AVRIL / MAI sont disponibles !

Pour avoir un accom­pa­gne­ment , il suf­fit d’utiliser le lien Calend­ly et de choi­sir un créneau :

https://​calend​ly​.com/​c​h​e​r​i​n​e​l​a​y​a​c​h​i​/​r​e​n​c​o​n​t​r​e​s​-​s​o​l​i​r​i​s​?​m​o​n​t​h​=​2​024 – 03