Voulez-vous conformer votre association la nouvelle loi des sociétés et des associations ?
Venez nous en parler, sur rendez-vous : e21uropasalama@hotmail.com.
21/12/2023
Europa Salama
Avenue de la Couronne 375
1050 Bruxelles
Voulez-vous conformer votre association la nouvelle loi des sociétés et des associations ?
Venez nous en parler, sur rendez-vous : e21uropasalama@hotmail.com.
21/12/2023
Europa Salama
Avenue de la Couronne 375
1050 Bruxelles
Pour célébrer la fin de l’année en beauté, FIDA ASBL participe à la 30èmé édition du célèbre marché de Noël de Molenbeek-Saint-Jean.
C’est dans une ambiance féérique et dans un cadre idyllique du Château de Kareveld que nous vous convions pour une exposition-vente de produits artisanales et traditionnelles de la Corne de l’Afrique et une dégustations culinaires des spécialités succulentes.
Venez nous rendre visite au stand N°9 pour dénicher un cadeau de Noël extra-ordinaire et gâter vos pépites !
Nous remercions chaleureusement la Commune de Molenbeeck pour l’invitation ainsi que nos différents partenaires, plus particulièrement, l’association CIAE‑A de Liège pour leur précieuse collaboration, la styliste Nasro Habib qui a confectionné en un laps de temps très court les épouvantails traditionnels Afars et la jeune entrepreneur Hasna pour les produits traditionnels.
Rejoignez-nous pour vivre un moment convial et mémorable !
La solidarité internationale en Belgique : Qui fait quoi ? Pourquoi continuer à la faire ? Comment puis-je monter moi-même un projet de solidarité ? Puis-je vraiment faire la différence ? Puis-je avoir mon mot à dire lors de ce festival ? Si vous vous posez toutes ces questions, SoliDARE est fait pour vous !
Préparez-vous à un festival époustouflant et novateur sur la solidarité internationale :
*11.11.11 | Soliris.Brussels | KUUMBA | Le Monde selon les Femmes | CATAPA | Magasins du monde | VLIR-UOS | CEC | KIYO | Broederlijk Delen | Forum des Jeunes | Djapo | Africalia | Humasol | Amnesty International |4de Pijlersteunpunt | BIO Invest | Draw for Change | et plus !
Vous souhaitez participer à SoliDARE ? Inscrivez-vous ! Vous serez ainsi sûr·e d’avoir votre entrée et votre repas gratuit, et vous resterez au courant de toutes les informations relatives à l’événement !
Programme complet :
Les membres soliris sont invités à rencontrer les membres de la Fondation Anna Lindh, “le plus grand réseau d’organisations de la société civile et citoyenne, développée conjointement par l’Union Européenne et ses pays partenaires euro-méditerranéens” !
Pour ce faire, une pièce de la Compagnie des Nouveaux Disparus, un lunch et des fiches associatives sont prévues pour vous !
Merci de vous inscrire au préalable.
Programme :
Spectacle de théâtre-action de la compagnie Ras El Hanout, qui met en lumière des problématique liées aux inégalités d’accès à une alimentation saine et durable.
Depuis quelques années, on entend beaucoup parler des enjeux environnementaux, notamment des enjeux autour de l’alimentation. Certains mots font désormais partie du langage courant : bio, équitable, éco-responsable, permaculture, … Mais qu’est-ce que ces mots signifient, que cachent-ils ? À quoi servent ces initiatives ? Et, surtout, par où commencer ?
Consumer est une pièce de théâtre-action qui rassemble pour nourrir la réflexion, imaginer et cultiver de nouveaux futurs alimentaires.
Après avoir visité quelques fermes en agroécologie et permaculture belges et marocaines, les participant.es vous invitent à recréer la réflexion et le débat sur le sujet de l’alimentation.
La représentation sera suivie d’un drink.
5 FILMS D’AFRIQUE :
- KOLONGA (S’EN SORTIR) de Martin Makitakow (République Démocratique du Congo)
- MODOU PHARE de Pape Mbaye Diop (Sénégal)
- BOKOKANI (ÉGALITÉ) de Caustelli Ramiraize (République Démocratique du Congo)
- SËYUM DUUDU (LE MARIAGE DE DOUDOU) de Ndeye Sophie Kane (Sénégal)
- BAATA BANTA (MARCHÉ CONCLU) de Mamadou Samba Diallo (Sénégal)
Le phénomène migratoire se présente dans de nombreux pays et revêt une grande importance lorsque l’on considère les aspects d’intégration en santé, économique :
pauvreté, emploi, formation ; politique : exclusion-inclusion sociale, discrimination, racisme, aculturation, entre autres facteurs à prendre en compte dans les déterminants de la santé.
Dans le contexte de la migration, le stress chronique est vécu à travers la séparation des êtres chers et où la langue maternelle est différente de l’officielle, la culture et la façon de fonctionner, voir et comprendre le monde, ou l’autre différent de moi, sont très distinctes et variées ; où les rôles de genre appris sont très différents, en conflit, se renforcent ou se reconfigurent ; où le statut social se rend invisible ou disparaît, où le statut citoyen se délite, où la dignité humaine se perd, où se fragilise “l’exister” sainement d’un point de vue physique, mental, social, où la solitude et l’absence d’appui social pousse à la marginalisation, à la précarisation, voir à l’exclusion sociale.
Vous voulez mieux comprendre ce processus et tous les éléments qu’il implique ? Vous êtes confronté.e à cette problématique ?
Vous voulez découvrir des outils pour mieux le gérer ?
Cette formation est pour vous !
Les personnes migrantes vivent l’expérience de pertes dans le deuil migratoire comme une expérience commune : exigences de changements et adaptations, depuis le défi et la résilience jusqu’à la recherche de sens et l’adaptation à la nouvelle réalité.
Programme complet : https://quinzainesolidarite.bruxelles.be/activites
Bruxelles compte 175 nationalités et serait d’après l’analyse de certains sites spécialisés[1] la deuxième ville au monde à accueillir le plus grand pourcentage de résidents d’origine étrangère après Dubaï. On dénombre pas moins de 108 langues parlées par membres des diasporas qui vivent à Bruxelles.
La cellule de Solidarité Internationale de la Ville de Bruxelles collabore régulièrement avec des structures associatives de diaspora, dont les racines se situent en Afrique ou en Amérique du Sud. Ces associations sont également représentées au sein du conseil consultatif de la Ville de Bruxelles.
Ces associations sont actives dans leur pays d’origine et y mettent en œuvre des projets en active collaboration avec les populations locales (construction d’écoles, lancement et équipement de coopératives agricoles, financement de formations qualifiantes, etc.). Cette dynamique témoigne déjà de la volonté de réaffirmer les liens des associations avec l’état / la nation d’origine, et la volonté de contribuer à des projets qui ont du sens et apportent des réponses aux besoins sur place.
La contribution des diasporas à la mise en place de projets dans leurs pays d’origine dépasse largement le simple flux financier. Les diasporas « peuvent apporter à leur communauté d’origine un capital social ou des idées, comportements, identités et connaissances acquis pendant leur séjour dans une autre partie du pays ou à l’étranger[2] ».
Le montant des volumes financiers en jeu méritent cependant d’être explicités. La crise sanitaire récente liée à la pandémie de la COVID-19 a provoqué une récession mondiale qui a entrainé une baisse importante de l’aide publique au développement (APD) ainsi que des investissements directs étrangers (IDE) au niveau mondial. Les remises migratoires (terme français généralement utilisé pour le mot Anglais Remittences plus largement utilisé) n’ont, quant à elles, presque pas diminué durant la pandémie. L’année 2021 a confirmé cette tendance avec un volume de remises migratoires supérieur à l’APD et aux IDE. « Ce constat souligne l’importance de ces flux, qui constituent une véritable bouée de sauvetage en permettant aux ménages de financer des produits essentiels tels que la nourriture, la santé et l’éducation pendant les périodes de difficultés économiques dans les pays d’origine des migrants. [3]» Notons que le coût de ces transferts d’argent peut s’avérer prohibitif et il serait opportun de faciliter ces transferts d’argent en les rendant moins onéreux.
En outre, il est évident que de nombreux transferts financiers informels sont difficiles à répertorier. Tous ces éléments factuels permettent de situer à quel point l’implication active
des diasporas est un pilier majeur de la solidarité internationale et tend à réduire les inégalités mondiales.
Les diasporas sont également indispensables pour visibiliser légitimement à Bruxelles l’art et la culture de leurs pays d’origine. Les parcours de leurs membres sont une plus-value pour nous permettre de mieux comprendre les enjeux d’un monde où tous les défis sont globaux car tout est étroitement lié. Ils nous apprennent également l’intensité des injustices qui ponctuent les parcours migratoires.
La quinzaine 2023 aura donc pour objectifs de valoriser et visibiliser l’action des diasporas Bruxelloises à l’étranger et ici, et d’explorer les interrogations ressenties par les membres des diasporas pour parvenir à insuffler plus de solidarité internationale dans notre société afin d’y faciliter la justice sociale. Ce sera également l’occasion d’évoquer les pistes d’action pour intégrer les diasporas dans les projets de coopération financés par les bailleurs institutionnels des différents niveaux de pouvoir (en les considérant comme des partenaires / parties prenantes et pas uniquement comme acteurs économiques), l’intérêt de défendre la mobilité humaine, définitive ou circulaire, et faciliter la mutualisation des expertises et connaissances entre diasporas.
[1] http://brussels-diversity.jetpack.ai/?fbclid=IwAR39ZOLUJ4hNaqN81RhngBjZNMPgkv-jCNrxVrNEhbUmkYnBx3EJerxOn_o
[2] Peggy Levitt 1998 : 927 – “Social Remittances : Migration Driven Local-Level Forms of Cultural Diffusion”
[3] https://www.banquemondiale.org/fr/news/press-release/2021/11/17/remittance-flows-register-robust‑7 – 3‑percent-growth-in-2021
le Buji Festival 2023 ! Préparez-vous à embarquer pour un voyage inoubliable rempli d’énergie vibrante, de performances captivantes et d’une infusion d’expériences culturelles diverses.
Un nouveau vent souffle sur le monde des festivals Belges, Buji Festival s’annonce armer de performances captivantes et une infusion d’expériences culturelles diverses.
Réunissant un mélange particulier de films, de théâtre, de conférences inspirantes, d’expositions passionnantes, de concours palpitants et de délices culinaires exotiques.
Ce qui distingue le Buji Festival, c’est son engagement à présenter le meilleur de l’Afrobeat avec, du RnB, du Rap, de l’Afrohouse et de l’Amapiano.
De mélodies envoûtantes à des rythmes entraînants, la scène s’anime avec les sons riches et diversifiés de ces genres musicaux, offrant une expérience inoubliable aux amateurs de musique.
Avec quelque chose pour tout le monde, ce festival n’est pas seulement divertissant, il vise également à faire réfléchir tout le monde en posant des questions sociétales nécessaires.
Bien plus qu’un simple festival, c’est une célébration de la culture sous toutes ses formes. Avec des films stimulants et des performances théâtrales captivantes. Nous engagerons des discussions éclairantes abordant d’importantes questions sociales.
Découvrez des expositions uniques mettant en valeur les talents et la créativité d’artistes de divers horizons. Et n’oubliez pas de participer à des concours excitants qui mettront à l’épreuve vos compétences et offriront des prix fantastiques.
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Chères toutes, Chers tous,
Nous vous invitons à participer à la Conférence sur la Migration qui aura lieu le 13 octobre 2023 à l’Espace 16 Arts, rue Rossini, 16 à 1070 Anderlecht dans le cadre de la Quinzaine de la Solidarité Internationale.
Nous y travaillerons le thème ‘Se reconstruire dans la Migration – Comment les associations participent au renforcement de la Cohésion Sociale dans la Commune ? ’.
Plusieurs sessions de préparation ont eu lieu pour les organisations qui souhaitaient y prendre part activement !
À qui s’adresse ce projet ?
À toutes les associations de la diaspora, associations de la plateforme Solidarité Internationale, des associations qui travaillent avec des publics d’ici et d’ailleurs actives sur le territoire de la Commune d’Anderlecht.
Objectifs :
Lieu :
à l’Espace 16 Arts, Rue Rossini, 16 à Anderlecht.
Voici quelques détails sur le projet :
Nous allons aborder le thème des deuils dans la migration. Tous les chemins de pertes et de résilience, c’est le parcours dans la migration. Pour toutes les personnes qui viennent d’ailleurs et pour toutes les personnes qui sont originaires d’ici.
Le jour de la conférence (13 octobre), dans le cadre de la quinzaine de la solidarité internationale, nous proposons que chaque association présente, en une quinzaine de minutes, sa manière d’agir par rapport au deuil migratoire.
Nous explorerons ensemble le concept de “deuil” qui désigne le sentiment d’une perte importante, généralement associée à la mort d’un être cher. Considérant que cette perte d’un être cher est irréversible, c’est-à-dire irréparable.
En outre, nous aborderons le concept de deuil migratoire. Nous ferons un voyage dans le monde de la migration. Ici, le deuil migratoire est conçu sur la base des pertes multiples subies par une personne venant d’un autre pays. Par exemple, les pertes des personnes qui migrent sont la séparation ou la perte de la famille, des amis, de la culture, du paysage de leur pays, de leur nourriture traditionnelle, de leurs fêtes traditionnelles, de leur travail, de la valeur du diplôme ou des études qu’elles ont achevées dans leur pays d’origine,
Il s’agit là de pertes. Cependant, la perte ou le deuil de la migration est différent du deuil de la mort, car il y a toujours l’espoir de retourner un jour dans le pays d’origine et de retrouver sa famille, de rendre visite à ses amis, de savourer la nourriture traditionnelle, d’apprécier et de contempler les paysages, le climat, la faune et la flore.
La lumière de l’espoir qui les fait rêver d’un retour ne s’éteint jamais, il y a toujours la possibilité de récupérer ces pertes.
La migration peut être volontaire, forcée, déplacée, réfugiée, d’étude, de travail, entre autres causes. Cependant, le deuil migratoire implique la douleur causée par les multiples “pertes” auxquelles il faut faire face, ainsi que les exigences d’adaptation aux nouveaux modes de vie culturels, sociaux et environnementaux. Il est considéré comme un deuil peu connu et difficile à articuler.
Le phénomène de la migration se produit dans de nombreux pays et revêt une grande importance compte tenu des aspects de l’intégration dans la santé, dans l’économie : pauvreté, emploi, formation ; à prendre en compte dans la politique locale : exclusion-inclusion ; à intégrer et à participer au développement social : discrimination, racisme, acculturation, développement, participation citoyenne ;æ
Tous ces éléments sont considérés comme des déterminants de la santé et du développement humain. Ils font partie des objectifs du développement durable. Et tout le monde, tout le monde, jeunes et moins jeunes, participe à cette grande aventure personnelle, familiale et communautaire du développement durable.
Le deuil des migrants est une expérience commune. Lorsque l’on vit dans un autre pays ou une autre ville, il faut opérer de nombreux changements et s’adapter à un nouveau mode de vie : vivre loin de sa famille, apprendre une nouvelle langue, comprendre la ou les nouvelles cultures, les façons de se saluer, de s’habiller, de se comporter, de communiquer, de chercher un emploi, de travailler, de se procurer de la nourriture, de cuisiner, etc.
Ces grands voyages migratoires sont riches d’enseignements.
Les acteurs de changement des associations seront mis à l’honneur par le biais de leur contribution à la réalisation des activités associatives qui :
Découvrons cette diversité d’apprentissage et mise à l’honneur de nos agents de développement.
Bien à vous,
Leticia Reyes
Familles du Monde, asbl
GSM : 0496 70 49 19