Molenbeek-Saint-Jean : “Consumer”

Spec­tacle de théâtre-action de la com­pa­gnie Ras El Hanout, qui met en lumière des pro­blé­ma­tique liées aux inéga­li­tés d’ac­cès à une ali­men­ta­tion saine et durable.
Depuis quelques années, on entend beau­coup par­ler des enjeux envi­ron­ne­men­taux, notam­ment des enjeux autour de l’alimentation. Cer­tains mots font désor­mais par­tie du lan­gage cou­rant : bio, équi­table, éco-res­pon­sable, per­ma­cul­ture, … Mais qu’est-ce que ces mots signi­fient, que cachent-ils ? À quoi servent ces ini­tia­tives ? Et, sur­tout, par où commencer ?
Consu­mer est une pièce de théâtre-action qui ras­semble pour nour­rir la réflexion, ima­gi­ner et culti­ver de nou­veaux futurs alimentaires.
Après avoir visi­té quelques fermes en agroé­co­lo­gie et per­ma­cul­ture belges et maro­caines, les par​ti​ci​pant​.es vous invitent à recréer la réflexion et le débat sur le sujet de l’alimentation.

La repré­sen­ta­tion sera sui­vie d’un drink.

Soirée film Africains 

5 FILMS D’AFRIQUE :

- KOLONGA (S’EN SORTIR) de Mar­tin Maki­ta­kow (Répu­blique Démo­cra­tique du Congo)

- MODOU PHARE de Pape Mbaye Diop (Séné­gal)

- BOKOKANI (ÉGALITÉ) de Caus­tel­li Rami­raize (Répu­blique Démo­cra­tique du Congo)

- SËYUM DUUDU (LE MARIAGE DE DOUDOU) de Ndeye Sophie Kane (Séné­gal)

- BAATA BANTA (MARCHÉ CONCLU) de Mama­dou Sam­ba Dial­lo (Séné­gal)

Découvrir ses Processus / Deuils Migratoires

Le phé­no­mène migra­toire se pré­sente dans de nom­breux pays et revêt une grande impor­tance lorsque l’on consi­dère les aspects d’in­té­gra­tion en san­té, économique :
pau­vre­té, emploi, for­ma­tion ; poli­tique : exclu­sion-inclu­sion sociale, dis­cri­mi­na­tion, racisme, acul­tu­ra­tion, entre autres fac­teurs à prendre en compte dans les déter­mi­nants de la santé.

Dans le contexte de la migra­tion, le stress chro­nique est vécu à tra­vers la sépa­ra­tion des êtres chers et où la langue mater­nelle est dif­fé­rente de l’of­fi­cielle, la culture et la façon de fonc­tion­ner, voir et com­prendre le monde, ou l’autre dif­fé­rent de moi, sont très dis­tinctes et variées ; où les rôles de genre appris sont très dif­fé­rents, en conflit, se ren­forcent ou se recon­fi­gurent ; où le sta­tut social se rend invi­sible ou dis­pa­raît, où le sta­tut citoyen se délite, où la digni­té humaine se perd, où se fra­gi­lise “l’exis­ter” sai­ne­ment d’un point de vue phy­sique, men­tal, social, où la soli­tude et l’ab­sence d’ap­pui social pousse à la mar­gi­na­li­sa­tion, à la pré­ca­ri­sa­tion, voir à l’ex­clu­sion sociale.

Vous vou­lez mieux com­prendre ce pro­ces­sus et tous les élé­ments qu’il implique ? Vous êtes confronté.e à cette problématique ?

Vous vou­lez décou­vrir des outils pour mieux le gérer ?

Cette for­ma­tion est pour vous !

Les per­sonnes migrantes vivent l’ex­pé­rience de pertes dans le deuil migra­toire comme une expé­rience com­mune : exi­gences de chan­ge­ments et adap­ta­tions, depuis le défi et la rési­lience jus­qu’à la recherche de sens et l’a­dap­ta­tion à la nou­velle réalité.

Ville de Bruxelles : Quinzaine de la Solidarité internationale 2023

Pro­gramme com­plet : https://​quin​zai​ne​so​li​da​rite​.bruxelles​.be/​a​c​t​i​v​i​tes 

Bruxelles compte 175 natio­na­li­tés et serait d’après l’analyse de cer­tains sites spé­cia­li­sés[1] la deuxième ville au monde à accueillir le plus grand pour­cen­tage de rési­dents d’origine étran­gère après Dubaï. On dénombre pas moins de 108 langues par­lées par membres des dia­spo­ras qui vivent à Bruxelles.

La cel­lule de Soli­da­ri­té Inter­na­tio­nale de la Ville de Bruxelles col­la­bore régu­liè­re­ment avec des struc­tures asso­cia­tives de dia­spo­ra, dont les racines se situent en Afrique ou en Amé­rique du Sud. Ces asso­cia­tions sont éga­le­ment repré­sen­tées au sein du conseil consul­ta­tif de la Ville de Bruxelles.

Ces asso­cia­tions sont actives dans leur pays d’origine et y mettent en œuvre des pro­jets en active col­la­bo­ra­tion avec les popu­la­tions locales (construc­tion d’écoles, lan­ce­ment et équi­pe­ment de coopé­ra­tives agri­coles, finan­ce­ment de for­ma­tions qua­li­fiantes, etc.). Cette dyna­mique témoigne déjà de la volon­té de réaf­fir­mer les liens des asso­cia­tions avec l’état / la nation d’origine, et la volon­té de contri­buer à des pro­jets qui ont du sens et apportent des réponses aux besoins sur place.

La contri­bu­tion des dia­spo­ras à la mise en place de pro­jets dans leurs pays d’origine dépasse lar­ge­ment le simple flux finan­cier. Les dia­spo­ras « peuvent appor­ter à leur com­mu­nau­té d’origine un capi­tal social ou des idées, com­por­te­ments, iden­ti­tés et connais­sances acquis pen­dant leur séjour dans une autre par­tie du pays ou à l’étranger[2] ».

Le mon­tant des volumes finan­ciers en jeu méritent cepen­dant d’être expli­ci­tés. La crise sani­taire récente liée à la pan­dé­mie de la COVID-19 a pro­vo­qué une réces­sion mon­diale qui a entrai­né une baisse impor­tante de l’aide publique au déve­lop­pe­ment (APD) ain­si que des inves­tis­se­ments directs étran­gers (IDE) au niveau mon­dial. Les remises migra­toires (terme fran­çais géné­ra­le­ment uti­li­sé pour le mot Anglais Remit­tences plus lar­ge­ment uti­li­sé) n’ont, quant à elles, presque pas dimi­nué durant la pan­dé­mie. L’année 2021 a confir­mé cette ten­dance avec un volume de remises migra­toires supé­rieur à l’APD et aux IDE. « Ce constat sou­ligne l’importance de ces flux, qui consti­tuent une véri­table bouée de sau­ve­tage en per­met­tant aux ménages de finan­cer des pro­duits essen­tiels tels que la nour­ri­ture, la san­té et l’éducation pen­dant les périodes de dif­fi­cul­tés éco­no­miques dans les pays d’origine des migrants. [3]» Notons que le coût de ces trans­ferts d’argent peut s’avérer pro­hi­bi­tif et il serait oppor­tun de faci­li­ter ces trans­ferts d’argent en les ren­dant moins onéreux.

En outre, il est évident que de nom­breux trans­ferts finan­ciers infor­mels sont dif­fi­ciles à réper­to­rier. Tous ces élé­ments fac­tuels per­mettent de situer à quel point l’implication active

des dia­spo­ras est un pilier majeur de la soli­da­ri­té inter­na­tio­nale et tend à réduire les inéga­li­tés mondiales.

Les dia­spo­ras sont éga­le­ment indis­pen­sables pour visi­bi­li­ser légi­ti­me­ment à Bruxelles l’art et la culture de leurs pays d’origine. Les par­cours de leurs membres sont une plus-value pour nous per­mettre de mieux com­prendre les enjeux d’un monde où tous les défis sont glo­baux car tout est étroi­te­ment lié. Ils nous apprennent éga­le­ment l’intensité des injus­tices qui ponc­tuent les par­cours migratoires.

La quin­zaine 2023 aura donc pour objec­tifs de valo­ri­ser et visi­bi­li­ser l’action des dia­spo­ras Bruxel­loises à l’étranger et ici, et d’explorer les inter­ro­ga­tions res­sen­ties par les membres des dia­spo­ras pour par­ve­nir à insuf­fler plus de soli­da­ri­té inter­na­tio­nale dans notre socié­té afin d’y faci­li­ter la jus­tice sociale. Ce sera éga­le­ment l’occasion d’évoquer les pistes d’action pour inté­grer les dia­spo­ras dans les pro­jets de coopé­ra­tion finan­cés par les bailleurs ins­ti­tu­tion­nels des dif­fé­rents niveaux de pou­voir (en les consi­dé­rant comme des par­te­naires / par­ties pre­nantes et pas uni­que­ment comme acteurs éco­no­miques), l’intérêt de défendre la mobi­li­té humaine, défi­ni­tive ou cir­cu­laire, et faci­li­ter la mutua­li­sa­tion des exper­tises et connais­sances entre diasporas.

[1] http://​brus​sels​-diver​si​ty​.jet​pack​.ai/​?​f​b​c​l​i​d​=​I​w​A​R​3​9​Z​O​L​U​J​4​h​N​a​q​N​8​1​R​h​n​g​B​j​Z​N​M​P​g​k​v​-​j​C​N​r​x​V​r​N​E​h​b​U​m​k​Y​n​B​x​3​E​J​e​r​x​O​n_o

[2] Peg­gy Levitt 1998 : 927 – “Social Remit­tances : Migra­tion Dri­ven Local-Level Forms of Cultu­ral Diffusion”

[3] https://www.banquemondiale.org/fr/news/press-release/2021/11/17/remittance-flows-register-robust‑7 – 3‑percent-growth-in-2021

Buji Festival 2023

le Buji Fes­ti­val 2023 ! Pré­pa­rez-vous à embar­quer pour un voyage inou­bliable rem­pli d’énergie vibrante, de per­for­mances cap­ti­vantes et d’une infu­sion d’expériences cultu­relles diverses.

Un nou­veau vent souffle sur le monde des fes­ti­vals Belges, Buji Fes­ti­val s’annonce armer de per­for­mances cap­ti­vantes et une infu­sion d’expériences cultu­relles diverses.

Réunis­sant un mélange par­ti­cu­lier de films, de théâtre, de confé­rences ins­pi­rantes, d’expositions pas­sion­nantes, de concours pal­pi­tants et de délices culi­naires exotiques.

Ce qui dis­tingue le Buji Fes­ti­val, c’est son enga­ge­ment à pré­sen­ter le meilleur de l’Afrobeat avec, du RnB, du Rap, de l’Afrohouse et de l’Amapiano.

De mélo­dies envoû­tantes à des rythmes entraî­nants, la scène s’anime avec les sons riches et diver­si­fiés de ces genres musi­caux, offrant une expé­rience inou­bliable aux ama­teurs de musique.

Avec quelque chose pour tout le monde, ce fes­ti­val n’est pas seule­ment diver­tis­sant, il vise éga­le­ment à faire réflé­chir tout le monde en posant des ques­tions socié­tales nécessaires.

Bien plus qu’un simple fes­ti­val, c’est une célé­bra­tion de la culture sous toutes ses formes. Avec des films sti­mu­lants et des per­for­mances théâ­trales cap­ti­vantes. Nous enga­ge­rons des dis­cus­sions éclai­rantes abor­dant d’importantes ques­tions sociales.

Décou­vrez des expo­si­tions uniques met­tant en valeur les talents et la créa­ti­vi­té d’artistes de divers hori­zons. Et n’oubliez pas de par­ti­ci­per à des concours exci­tants qui met­tront à l’épreuve vos com­pé­tences et offri­ront des prix fantastiques.

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Tickets

Se reconstruire dans la Migration

Chères toutes, Chers tous,

Nous vous invi­tons à par­ti­ci­per à la Confé­rence sur la Migra­tion qui aura lieu le 13 octobre 2023 à l’Es­pace 16 Arts, rue Ros­si­ni, 16 à 1070 Ander­lecht dans le cadre de la Quin­zaine de la Soli­da­ri­té Inter­na­tio­nale.

Nous y tra­vaille­rons le thème ‘Se recons­truire dans la Migra­tion – Com­ment les asso­cia­tions par­ti­cipent au ren­for­ce­ment de la Cohé­sion Sociale dans la Com­mune ? ’.

Plu­sieurs ses­sions de pré­pa­ra­tion ont eu lieu pour les orga­ni­sa­tions qui sou­hai­taient y prendre part activement !

À qui s’adresse ce projet ?

À toutes les asso­cia­tions de la dia­spo­ra, asso­cia­tions de la pla­te­forme Soli­da­ri­té Inter­na­tio­nale, des asso­cia­tions qui tra­vaillent avec des publics d’ici et d’ailleurs actives sur le ter­ri­toire de la Com­mune d’Anderlecht.

Objec­tifs :

  1. Redé­cou­vrir le tré­sor cultu­rel per­du dans la migration 
    • Connaître les deuils migra­toires : com­prendre les expé­riences que vivent les per­sonnes dans le contexte de la migra­tion : les deuils migratoires
    • La migra­tion à Anderlecht
  2. Pré­pa­rer la par­ti­ci­pa­tion des asso­cia­tions à la Confé­rence / col­loque sur les ‘deuils migratoires’ 
    • Le rôle des asso­cia­tions de la dia­spo­ra dans la cohé­sion sociale
    • Connaître com­ment elles tra­vaillent les deuils migra­toires avec leur public
    • Pré­sen­ta­tion de 15 minutes lors de la confé­rence / col­loque sur com­ment elles tra­vaillent les deuils

Lieu :

à l’Espace 16 Arts, Rue Ros­si­ni, 16 à Anderlecht.

 

Voi­ci quelques détails sur le projet :

Nous allons abor­der le thème des deuils dans la migra­tion. Tous les che­mins de pertes et de rési­lience, c’est le par­cours dans la migra­tion. Pour toutes les per­sonnes qui viennent d’ailleurs et pour toutes les per­sonnes qui sont ori­gi­naires d’ici.

Le jour de la confé­rence (13 octobre), dans le cadre de la quin­zaine de la soli­da­ri­té inter­na­tio­nale, nous pro­po­sons que chaque asso­cia­tion pré­sente, en une quin­zaine de minutes, sa manière d’a­gir par rap­port au deuil migratoire.

Nous explo­re­rons ensemble le concept de “deuil” qui désigne le sen­ti­ment d’une perte impor­tante, géné­ra­le­ment asso­ciée à la mort d’un être cher. Consi­dé­rant que cette perte d’un être cher est irré­ver­sible, c’est-à-dire irréparable.

En outre, nous abor­de­rons le concept de deuil migra­toire. Nous ferons un voyage dans le monde de la migra­tion. Ici, le deuil migra­toire est conçu sur la base des pertes mul­tiples subies par une per­sonne venant d’un autre pays. Par exemple, les pertes des per­sonnes qui migrent sont la sépa­ra­tion ou la perte de la famille, des amis, de la culture, du pay­sage de leur pays, de leur nour­ri­ture tra­di­tion­nelle, de leurs fêtes tra­di­tion­nelles, de leur tra­vail, de la valeur du diplôme ou des études qu’elles ont ache­vées dans leur pays d’origine,

 

Il s’a­git là de pertes. Cepen­dant, la perte ou le deuil de la migra­tion est dif­fé­rent du deuil de la mort, car il y a tou­jours l’es­poir de retour­ner un jour dans le pays d’o­ri­gine et de retrou­ver sa famille, de rendre visite à ses amis, de savou­rer la nour­ri­ture tra­di­tion­nelle, d’ap­pré­cier et de contem­pler les pay­sages, le cli­mat, la faune et la flore.

La lumière de l’es­poir qui les fait rêver d’un retour ne s’é­teint jamais, il y a tou­jours la pos­si­bi­li­té de récu­pé­rer ces pertes.

 

La migra­tion peut être volon­taire, for­cée, dépla­cée, réfu­giée, d’é­tude, de tra­vail, entre autres causes. Cepen­dant, le deuil migra­toire implique la dou­leur cau­sée par les mul­tiples “pertes” aux­quelles il faut faire face, ain­si que les exi­gences d’a­dap­ta­tion aux nou­veaux modes de vie cultu­rels, sociaux et envi­ron­ne­men­taux. Il est consi­dé­ré comme un deuil peu connu et dif­fi­cile à arti­cu­ler.

Le phé­no­mène de la migra­tion se pro­duit dans de nom­breux pays et revêt une grande impor­tance compte tenu des aspects de l’in­té­gra­tion dans la san­té, dans l’é­co­no­mie : pau­vre­té, emploi, for­ma­tion ; à prendre en compte dans la poli­tique locale : exclu­sion-inclu­sion ; à inté­grer et à par­ti­ci­per au déve­lop­pe­ment social : dis­cri­mi­na­tion, racisme, accul­tu­ra­tion, déve­lop­pe­ment, par­ti­ci­pa­tion citoyenne ;æ

Tous ces élé­ments sont consi­dé­rés comme des déter­mi­nants de la san­té et du déve­lop­pe­ment humain. Ils font par­tie des objec­tifs du déve­lop­pe­ment durable.  Et tout le monde, tout le monde, jeunes et moins jeunes, par­ti­cipe à cette grande aven­ture per­son­nelle, fami­liale et com­mu­nau­taire du déve­lop­pe­ment durable.

Le deuil des migrants est une expé­rience com­mune. Lorsque l’on vit dans un autre pays ou une autre ville, il faut opé­rer de nom­breux chan­ge­ments et s’a­dap­ter à un nou­veau mode de vie : vivre loin de sa famille, apprendre une nou­velle langue, com­prendre la ou les nou­velles cultures, les façons de se saluer, de s’ha­biller, de se com­por­ter, de com­mu­ni­quer, de cher­cher un emploi, de tra­vailler, de se pro­cu­rer de la nour­ri­ture, de cui­si­ner, etc.

Ces grands voyages migra­toires sont riches d’enseignements.

 

Les acteurs de chan­ge­ment des asso­cia­tions seront mis à l’honneur par le biais de leur contri­bu­tion à la réa­li­sa­tion des acti­vi­tés asso­cia­tives qui :

  • contri­buent à l’élaboration de toutes ces pertes et à aller de l’avant ;
  • aident aus­si à ima­gi­ner des solu­tions à la tâche par­fois impos­sible des migrants pour retrou­ver le che­min, la force et la moti­va­tion à la rési­lience ; la san­té émo­tion­nelle, men­tale, sociale, trou­ver un tra­vail, s’insérer et conti­nuer à tra­vailler chaque jour par­mi nos actions asso­cia­tives pour la cohé­sion sociale.

 

Décou­vrons cette diver­si­té d’apprentissage et mise à l’honneur de nos agents de développement.

 

Bien à vous,

 

Leti­cia Reyes
Familles du Monde, asbl
GSM : 0496 70 49 19

Festival Umoja pour le climat !

🥳𝐋𝐞 𝐟𝐞𝐬𝐭𝐢𝐯𝐚𝐥 𝐔𝐌𝐎𝐉𝐀 𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧 𝐫𝐞𝐧𝐝𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐚𝐧𝐧𝐮𝐞𝐥 𝐪𝐮𝐢 𝐩𝐫𝐨𝐦𝐞𝐮𝐭 𝐥𝐚 𝐫𝐢𝐜𝐡𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐦𝐢𝐱𝐢𝐭𝐞́ 𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐮 𝐯𝐢𝐯𝐫𝐞 𝐞𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞 !
🎊𝐋’𝐞́𝐯𝐞́𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐟𝐞́𝐝𝐞̀𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐩𝐮𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐬𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐛𝐫𝐮𝐱𝐞𝐥𝐥𝐨𝐢𝐬𝐞𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐮𝐧 𝐦𝐨𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐚𝐠𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐯𝐢𝐯𝐢𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́.
🌱 𝐂𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐚𝐧𝐧𝐞́𝐞 , 𝐥’𝐚𝐜𝐜𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐞𝐫𝐚 𝐦𝐢𝐬 𝐬𝐮𝐫 𝐥’𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫-𝐜𝐨𝐧𝐧𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐬𝐩𝐨𝐫𝐭 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐣𝐞𝐮𝐱 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬.
😋 𝗕𝗕𝗤 🔸𝗗𝗝 🔹𝗖𝗢𝗡𝗖𝗘𝗥𝗧 🔸𝗖𝗛𝗔𝗧𝗘𝗔𝗨 𝗚𝗢𝗡𝗙𝗟𝗔𝗕𝗟𝗘 🔹𝗩𝗜𝗟𝗟𝗔𝗚𝗘 𝗘𝗡𝗙𝗔𝗡𝗧 🔸𝗙𝗢𝗢𝗗 🔹𝗩𝗜𝗟𝗟𝗔𝗚𝗘 𝗔𝗦𝗦𝗢𝗖𝗜𝗔𝗧𝗜𝗙🔸𝗧𝗢𝗨𝗥𝗡𝗢𝗜 𝗗𝗘 𝗙𝗢𝗢𝗧 🔹𝗜𝗡𝗜𝗧𝗜𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 𝗔𝗨 𝗙𝗢𝗢𝗧 ⚽️
🔹Entrée libre
📍Les réser­va­tions de stands pour le fes­ti­val UMOJA 2023 sont ouvertes.
📲 Contact :
ascades.​belgique@​yahoo.​fr
+32 488 59 45 61

Dia de Africa – La Journée de l’Afrique

 

Notre grande soi­rée de gala orga­ni­sée en 09/2021 a connu un très grand suc­cès et nos 200 convives, venus de toute l’Europe,  ont été conquis et enchan­tés par l’événement…le seul regret étant d’avoir dû limi­ter le nombre d’invités pour res­pec­ter les mesures covid de l’époque.

 

Forts de ce suc­cès,  nous sou­hai­tons nous ins­crire au calen­drier de la Ville de Bruxelles et par­ti­ci­per aux fes­ti­vi­tés du Prin­temps qui vont égayer notre Capi­tale Européenne.

 

Ain­si donc, le 28 mai pro­chain, une jour­née musi­cale et  gas­tro­no­mique tout en cou­leur à savou­rer en famille sera dédiée à l’Afrique.

Convi­via­li­té et diver­si­té seront les maîtres-mots de cet évè­ne­ment avec une pro­gram­ma­tion soi­gnée et inédite orga­ni­sée dans le cadre excep­tion­nel du Jar­din des Hospices.

La grande tente de style ber­bère accueille­ra l’espace musique, où les  ren­contres et les échanges cultu­rels seront par­ta­gés, aux sons et rythmes d’ailleurs…

L’espace jar­din sera bor­dé de petites tentes où  diverses asso­cia­tions invi­tées nous ferons dégus­ter les délices de leur pays res­pec­tif. Le public pour­ra décou­vrir et pro­fi­ter de cette gas­tro­no­mie colo­rée et épi­cée à souhait.

 

L’objectif de notre ASBL est de faire de cette jour­née une paren­thèse convi­viale et fami­liale,  de décou­vertes et d’échanges, ouverte au plus grand nombre possible.

DiverCity 2023

Dans le cadre de la Jour­née mon­diale de la diver­si­té cultu­relle pour le dia­logue et le déve­lop­pe­ment, la Ville de Bruxelles orga­nise la 14e édi­tion de Diver­Ci­ty. Venez célé­brer la diver­si­té bruxel­loise lors d’un fes­ti­val ou la com­mu­nau­té bré­si­lienne de Bruxelles sera mise à l’honneur.

Au pro­gramme : musique, cui­sine et vil­lage du monde, par­ti­ci­pa­tion des asso­cia­tions, ani­ma­tions pour les enfants et les jeunes, folk­lore, artisanat,…

Plus d’infos :

Diver­Ci­ty

Semaine Ivoirienne de la Culture

Un phi­lo­sophe disait que la culture, c’est la mémoire du peuple, la conscience col­lec­tive de la conti­nui­té his­to­rique, le mode de pen­sée et de vivre. Devant l’absence d’un fes­ti­val ivoi­rien en Bel­gique, des jeunes ivoi­ro-belges ont sou­hai­té célé­brer la culture ivoi­rienne à tra­vers la créa­tion d’un concept « Semaine ivoi­rienne de la culture » dans l’optique de valo­ri­ser ce beau pays en Bel­gique. L’objectif étant de ras­sem­bler autour d’une créa­tion ivoi­rienne, les fils et filles du pays et faire connaître nos arts et nos richesses culturelles.

La SIC, qui est le pre­mier Fes­ti­val du genre en Bel­gique, se veut être un fac­teur de fra­ter­ni­té et de cohé­sion. La Semaine Ivoi­rienne de la Culture est un évè­ne­ment cultu­rel annuel (débute le 1er same­di du mois de juillet) qui vise à pro­mou­voir la culture ivoi­rienne et sa belle inté­gra­tion en Bel­gique. Basée sur dif­fé­rents savoirs et savoir- faire, la SIC est spé­cia­le­ment dédiée à la mul­ti­cul­tu­ra­li­té, à l’animation d’activités inter­cul­tu­relles et à l’organisation de com­pé­ti­tions du petit poto (le foot­ball à l’ivoirienne).

Ce pro­jet per­met chaque année aux ivoi­riens et ivoi­riennes vivant en Bel­gique et aux alen­tours de se retrou­ver en vue de par­ta­ger des moments de joie, de retrou­vailles, d’échanges et de com­mu­nion et de don­ner une visi­bi­li­té à la com­mu­nau­té ivoi­rienne en Belgique.

Pour la deuxième édi­tion, l’ambition est de faire connaitre la double culture ivoi­rienne et belge, expres­sion de deux patri­moines cultu­rels partagés.Ce sera l’occasion de pré­sen­ter l’histoire de la Côte d’Ivoire et la culture tra­di­tion­nelle qui déter­mine son identité.